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otions de personne et de vocation, synthèse qui s’
opéra
durant les premiers siècles de notre ère, qui s’épanouit avec la Rena
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ie soviétique ; mais le sort d’une ballerine de l’
Opéra
de Moscou est certainement plus enviable que celui d’un savant qui do
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donné à Paris plus de cent symphonies, concertos,
opéras
et ballets, durant trente jours, sans que s’y glisse une mesure de mu
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ni exclusives. En revanche, la scission nette qu’
opéra
le christianisme dès son établissement officiel dans l’Empire a créé
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bliable, une interprétation triple et unique de l’
opéra
, du mythe, et de l’essence de la musique occidentale. En voici l’argu
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ée de Mozart : elle a pour but de démontrer que l’
opéra
de Mozart est le mythe pur, intégralement manifesté en chaque détail
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ée », d’où « la valeur classique absolue » de son
opéra
. On pourra multiplier les Faust 100, car « l’idée de Faust suppose un
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duire une Ilias post Homerum. Du commentaire de l’
opéra
lui-même (dont la pénétration proprement musicale est stupéfiante, Ki
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elle leur faisait préférer aux réceptions ou à l’
opéra
le travail nocturne des commissions. C’est elle qu’il s’agirait de re
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nir une place décisive et axiale : c’est là que s’
opéra
la rencontre de la plupart des courants « européistes » jusqu’alors é