1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 otions de personne et de vocation, synthèse qui s’ opéra durant les premiers siècles de notre ère, qui s’épanouit avec la Rena
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
2 ie soviétique ; mais le sort d’une ballerine de l’ Opéra de Moscou est certainement plus enviable que celui d’un savant qui do
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
3 donné à Paris plus de cent symphonies, concertos, opéras et ballets, durant trente jours, sans que s’y glisse une mesure de mu
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
4 ni exclusives. En revanche, la scission nette qu’ opéra le christianisme dès son établissement officiel dans l’Empire a créé
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
5 bliable, une interprétation triple et unique de l’ opéra , du mythe, et de l’essence de la musique occidentale. En voici l’argu
6 ée de Mozart : elle a pour but de démontrer que l’ opéra de Mozart est le mythe pur, intégralement manifesté en chaque détail
7 ée », d’où « la valeur classique absolue » de son opéra . On pourra multiplier les Faust 100, car « l’idée de Faust suppose un
8 duire une Ilias post Homerum. Du commentaire de l’ opéra lui-même (dont la pénétration proprement musicale est stupéfiante, Ki
6 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
9 elle leur faisait préférer aux réceptions ou à l’ opéra le travail nocturne des commissions. C’est elle qu’il s’agirait de re
10 nir une place décisive et axiale : c’est là que s’ opéra la rencontre de la plupart des courants « européistes » jusqu’alors é