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duit, par une sorte de compromis sentimental, à l’
Opéra
où l’on donnait les Contes d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le li
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ncipes et d’évidences opaques. Nous sortîmes de l’
Opéra
, Gérard de Nerval et moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des