1
d de sa pelouse soignée. Au coin de la place de l’
Opéra
, une demi-douzaine de SS bottés me barrent la route, agitant des tron
2
e repas en public, à des tables dressées devant l’
Opéra
. Tout cela sans trop de gaieté, avec une sorte d’application. Apprent
3
ue l’on voit encore dans un café de la place de l’
Opéra
paraissent, il faut l’avouer, justifier les slogans grossiers de la p
4
7 mars 1936 Comme je traversais la place de l’
Opéra
, hier vers minuit, des camelots criaient une édition spéciale du jour
5
is heures de l’après-midi, dans un café près de l’
Opéra
. Je dis à mon compagnon, le dramaturge suisse allemand L. : — Vous y
6
seuil du café, l’on aperçoit toute la place de l’
Opéra
. Des milliers de SA et de SS y sont déjà rangés, immobiles. Le Führer