1
roul, ou celui de M. Bédier, ni d’avoir entendu l’
opéra
de Wagner, pour subir dans la vie quotidienne l’empire nostalgique d’
2
Tristan de Wagner par exemple, ne serait-il qu’un
opéra
de l’adultère ? Et l’adultère, enfin, n’est-ce que cela ? Un vilain m
3
le trop de nirvana et de bouddhisme à propos de l’
opéra
wagnérien. Comme si le fond païen de l’Occident n’avait pas pu fourni
4
les éléments sur lesquels la doctrine de l’Amour
opéra
ses transmutations. Ainsi naquit le mythe de Tristan. Loin de moi la
5
ibilités de « méprise ». Il fallait que ce fût un
opéra
, pour deux raisons qui tiennent à l’essence même du mythe. De même qu
6
sique. Or le drame achevé par la musique, c’est l’
opéra
. Ainsi, ce n’est point un hasard si le mythe de Tristan et celui de D
7
ir leur expression achevée que dans la forme de l’
opéra
. Si Mozart et Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame musica
8
ement déclarée par la musique et les paroles de l’
opéra
. Par l’opéra, le mythe connaît son achèvement. Mais ce « terme » déti
9
e par la musique et les paroles de l’opéra. Par l’
opéra
, le mythe connaît son achèvement. Mais ce « terme » détient deux sens
10
spectaculaires, pédagogiques, voire religieux, on
opéra
cet énorme transfert (dont je parlais au Livre VI) qui consiste à don