1
par le bras vers les jardins. Des ballerines de l’
opéra
dansent autour d’une vasque, dans un théâtre de grands buis taillés à
2
levant sa coupe de champagne rit et déchaîne des
opéras
. — « Comme elle est laide, mais une voix à faire mal de bonheur, mais
3
d de sa pelouse soignée. Au coin de la place de l’
Opéra
, une demi-douzaine de SS bottés me barrent la route, agitant des tron
4
e repas en public, à des tables dressées devant l’
Opéra
. Tout cela sans trop de gaieté, avec une sorte d’application. Apprent
5
ue l’on voit encore dans un café de la place de l’
Opéra
paraissent, il faut l’avouer, justifier les slogans grossiers de la p
6
7 mars 1936 Comme je traversais la place de l’
Opéra
, hier vers minuit, des camelots criaient une édition spéciale du jour
7
is heures de l’après-midi, dans un café près de l’
Opéra
. Je dis à mon compagnon, le dramaturge suisse allemand L… : — Vous y
8
seuil du café, l’on aperçoit toute la place de l’
Opéra
. Des milliers de SA et de SS y sont déjà rangés, immobiles. Le Führer
9
œur même de l’été qui vient, on donne Tristan à l’
Opéra
. J’ai pris les deux dernières places libres. Le taxi qui nous emmène
10
de grandes flammes jaillies des guichets 65. À l’
Opéra
, les décors sont affreux, comme toujours, les voix allemandes, comme
11
l’homme avec qui et pour qui je voudrais faire un
opéra
, un jeu sacré… Chaque soir vers sept heures, au Florian, place Saint-
12
vaporeux, comme les idylles du xviiie , non pas l’
opéra
romantique, bien moins encore ces planches de minéralogie que nous ba
13
nvoie à Berne. 24 mai 1940 Écouté la radio.
Opéra
de Mozart. Et dans une seule bouffée, toutes ces nuits de Vienne, élé
14
e, parties d’échecs avec ce baryton viennois de l’
Opéra
de New York, bains de soleil dans un parterre de jeunes déesses améri