1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 ieg. Erledigt ! (Plus jamais de guerre ! C’est en ordre  !) (L’Anglais noterait dans son carnet : Tous les douaniers allemands
2 ui ma cotisation à la SA. Car je suis un ami de l’ ordre . — Amen. Dans un autre numéro, l’article de tête est intitulé : Arro
3 eurs yeux tout au moins) qu’exige d’eux le nouvel ordre social. Ce qui était révoltant dans les discours lancés comme des déf
4 if, car il n’est pas de mesure constante dans cet ordre . Ils sont donc morts pour une idée que son triomphe tuera peut-être,
5 aractérise ces années. Nous avons à construire un ordre . Cela me paraît bien plus urgent que d’aller faire la petite guerre d
6 que c’est cela que les bonnes gens baptisent « l’ ordre  ».) Ils n’ont fait que rétablir la situation capitaliste, et retarder
7 elle de sa puissance et de vos désirs secrets « d’ ordre  » à tout prix, au prix même de l’humain… À croire que ceux-ci créent
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
8 choses à y prendre. » Certes, Hitler a rétabli l’ ordre dans la rue. Il fait régner la paix sociale. Il y avait six millions
9 e de perdre toute espèce de sens ! Croit-on que l’ ordre social qu’on admire en Allemagne puisse être obtenu à bas prix, par d
10 lles » ou « politiques » ? Ne voit-on pas que cet ordre est simplement la suppression brutale et militaire de toute expressio
3 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
11 sée, et qui a commencé par suivre aveuglément vos ordres avant que l’idée vous vint de lui demander les siens. Mais le Führer
4 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
12 ds périls qui menacent l’Allemagne apparaissent d’ ordre politique : c’est d’une part la dislocation en petits États autonomes