1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 udre, en cas de crise, que par l’union sacrée aux ordres de l’Armée, contre un adversaire extérieur suscité pour les besoins d
2 le, à 11 heures, un demi-million. Le tout dans un ordre parfait, sous l’œil amical de trois-cents policemen montés. On circul
3 s, par exemple, 75 bureaux différents donnent des ordres , recrutent des employés, font des statistiques, et se battent entre e
4 is un commentateur de la radio. Il avait sous ses ordres des écrivains, des journalistes, des banquiers, des cinéastes, des da
5 d pays européen ait remporté des triomphes de cet ordre . La terre entière aurait de quoi trembler. Mais il ne s’agit pas d’un
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
6 disparates qu’il est comique de les citer, dans l’ ordre de leur succès de vente : Ève Curie, Maurois, Saint-Exupéry, Simenon
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 n désordre social que sous l’aspect d’une mise en ordre de deux vies individuelles. C’est qu’en Europe, l’on se préoccupe ava
8 ricaine est considéré avant tout comme la mise en ordre de deux vies. Derrière tous les motifs allégués, il y a comme partout
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 barde, d’un siècle quand il cite l’histoire, d’un ordre spirituel quand il critique un livre. Ce qu’il ne tolère pas, c’est l
10 re travailler et lire, et même de leur donner des ordres , ne serait-ce pas un système nouveau, qu’il serait criminel d’ignorer
11 ’est de liberté réelle qu’en avant, dans tous les ordres , à chaque instant, — si l’on veut bien y réfléchir en refermant ce pe