1
e le problème européen dépasse celui d’une simple
organisation
de notre économie, si nous ne voulons pas être « américanisés », comm
2
sa sauvegarde, une part de sa souveraineté à une
organisation
politique ne possédant pas un centre unique de pouvoir, d’impulsion e
3
tif minuscule qui travaillait avec 7 ou 8 grandes
organisations
et se trouvait en relation quotidienne avec 150 personnes. Nous ne vo
4
européen de recherche nucléaire et d’assurer une
organisation
coordonnée des festivals. Nous avons désiré aller aussi loin que poss
5
dans le plus grand secret. C’était une question d’
organisation
, rien de plus. Nous avons dit : « Il n’est pas du tout trop tard. Nou
6
nomiques, plutôt qu’un problème de dimension et d’
organisation
des pays ? Le type de société que vous évoquez prend ses distances pa
7
agent pas de gaz. Quant à savoir si cela touche l’
organisation
sociale et politique ? Oui, profondément. Ce que j’essaie de montrer
8
mouvement de convergence au-delà des États : les
organisations
mondiales, les organisations continentales y obéissent. Mais il y a e
9
delà des États : les organisations mondiales, les
organisations
continentales y obéissent. Mais il y a en même temps un mouvement de
10
qu’est-ce qui produit cet effet d’orientation, d’
organisation
de l’information et de qualification ? C’est quelquefois le style ; d
11
l’économie du continent. Et ce fut la période des
organisations
intergouvernementales : plan Marshall, OECE, Communautés de Luxembour
12
ons ainsi nos objectifs : L’Europe commence par l’
organisation
: Conseil de l’Europe, Communautés européennes, CERN. Mais elle ne de
13
entre le pluralisme des invariants civiques et l’
organisation
fédéraliste du continent. Mais c’est ici le lieu de signaler que ce p
14
nction. Pluralité des allégeances Une telle
organisation
, qui correspondrait enfin aux nécessités de la vie réelle et non plus