1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 s en une transcendance. C’est l’athéisme réalisé, organisé , quotidiennement vécu et pratiqué, et de plus en plus dépourvu de ses
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
2 r la politique nulle invention et nulle recherche organisée de formes politiques nouvelles : on s’en tenait au vieux régime des p
3 urope, à de nombreuses rencontres d’intellectuels organisées aux fins de confronter les positions théologiques ou politiques des t
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
4 Églises visibles (et même parfois trop visibles), organisées (parfois trop bien organisées). On parle, à tort ou à raison, d’États
5 ois trop visibles), organisées (parfois trop bien organisées ). On parle, à tort ou à raison, d’États chrétiens, ou de nations, de
6 tes On connaît la « croisade antimarxiste » qu’ organise dans le monde entier la panique des capitalismes. Cette croisade a po
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
7 t des personnes particulières ». Elle doit donc s’ organiser en fédération de paroisses et de provinces, par synodes. Ce type de r
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
8 e comme étant par trop “séculier” : Si le monde s’ organise dans la paix, si la prospérité devient universelle, le loisir général
9 vérité révélée, mais comme un ensemble d’Églises organisées possédant chacune sa doctrine, son organisation, son « appareil » et
10 , Égypte et Éthiopie) puis en Europe, où il s’est organisé en calquant les structures de l’Empire romain d’Occident. Au cours de
11 t, cependant qu’au contraire il s’installait et s’ organisait durablement dans toute l’Europe celto-germanique, puis conquérait les