1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 leur recherche pour contempler un absolu ; qu’ils osent se faire violence pour se hisser dans la lumière. « Il vaut mieux, di
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
2 , quoi qu’ils en disent, « artistiqués », — ils n’ osent plus le mensonge de l’art, et pas encore la vérité pure — Crevel décr
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
3 de l’homme. Toutes les civilisations fortes l’ont osé . Créer un espace architectural lumineux à la place de nos cités conge
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
4 érité tournée au vice, invertie, qui retient de l’ oser . Petite anthologie ou que le « style » est de l’homme même J’en
5 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
5 s rapides s’en allèrent un peu vers l’avenir et j’ osai quelques rêves. C’était, je m’en souviens, une petite automobile qui
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
6 s’était penchée vous ressemblait tant. Mais je n’ osais presque pas la regarder, à cause d’une incertitude qui redonnait tout
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
7 pas ? Je ne sais qu’un Montherlant qui pourrait l’ oser dire comme Aragon sans ridicule. Et ce que je prenais pour le ton pro
8 montrèrent les ravages bien plus étendus qu’on n’ osait le craindre11. Si dans un essai sur la sincérité j’ai soutenu qu’une
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
9 je suis sans scrupules, on connaît mon orgueil : osez donc me condamner d’être plus fort que cette bourgeoisie fatiguée, et
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
10 ’être nu devant un public supposé dévot, et qui n’ ose en croire sa pudeur, et qui doute enfin de l’impossibilité des miracl
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
11 Notre retraite est toute « statutaire » — si l’on ose dire. Elle nous permet donc de considérer la situation sans fièvre, s
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
12 ’habituer à cette idée. Je tenais cette clef et n’ osais m’en servir craignant peut-être des découvertes qui eussent ruiné tro
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
13 s gouvernements seraient un peu plus fous qu’on n’ ose les imaginer de ne pas entreprendre sur l’heure une véritable révolut
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
14 ’habituer à cette idée. Je tenais cette clef et n’ osais m’en servir craignant peut-être des découvertes qui eussent ruiné tro
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
15 s gouvernements seraient un peu plus fous qu’on n’ ose les imaginer de ne pas entreprendre sur l’heure une véritable révolut
15 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Grand Testament de Villon, illustré par Marcel North (juin 1930)
16 North en acidité légère de fruit vert, mais on n’ ose reprocher à ces images ce qu’elles ont d’un peu grêle : leur jeunesse
16 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
17 Saint-Augustin a formulé cette question, qu’il n’ osait résoudre, bien des mystiques, des poètes, des philosophes, des psychi
17 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
18 ux séries d’heures de travail consacrées, si l’on ose dire, à assurer cette mastication. Mais je m’égare, laissons-là ces m
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
19 gne, c’est surtout le fond des vallées, — si l’on ose dire, — où il fait vivre d’imaginaires bons sauvages. Et pour la gran
19 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
20 ïsme. Un siècle bourgeois comme fut le dernier, n’ osait imaginer de « réalisation » que sociale : car il faut bien qu’on s’y
20 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
21 ites comme tout-le-monde, et pensez ce que vous n’ oserez jamais faire. » Faut-il, pour d’autres, préciser que le manque d’orig
22 ce éternelle. Privilège à vrai dire sans mesure ; oserai -je écrire : sans espoir ? Tâchons d’être joyeux et humbles. 8. Le s
21 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
23 es, sont les orthodoxes qui momifient Lénine pour oser enfin l’adorer, tous les haineux qui trouveraient dans la perfidie bo
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
24 rchie nominaliste la plus grave : il ne sait ou n’ ose plus définir et assumer son bien ni son mal, — et sans cesse il en pa
23 1932, Le Paysan du Danube. Note
25 Comment, après cela, l’auteur du Paysan du Danube oserait -il assurer qu’il considère ces petits écrits comme autant de hors-d’œ
24 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
26 es filles sont parfois trop émouvantes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenais sa main, — ho ! qui l’a retirée des mienne
25 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
27 ux séries d’heures de travail consacrées, si l’on ose dire, à assurer cette mastication. Mais je m’égare, laissons-là ces m
26 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
28 en. Oh ! qu’elle vienne s’asseoir ici ! Mais je n’ ose plus lui faire place. Je sens que les deux ouvrières me regardent. El
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
29 es filles sont parfois trop émouvantes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenais sa main, — ho ! qui l’a retirée des mienne
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
30 en. Oh ! qu’elle vienne s’asseoir ici ! Mais je n’ ose plus lui faire place. Je sens que les deux ouvrières me regardent. El
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
31 ernier. » Voilà les dimensions réelles qu’il faut oser envisager. Elles ne sont pas démesurées. Elles doivent au contraire n
32 police traque les hommes libres sans que personne ose dire pour quoi ni protester, et ce n’est plus qu’au marché noir qu’on
30 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
33 i vaguement définis. Car là où la pensée n’a rien osé distinguer de précis, c’est là que l’action des hommes devient folle
31 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
34 t plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’ osent pas la considérer en face. Tant qu’elle restait purement théorique, o
32 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
35 « Ah ! comme je suis mal fait pour ma part, si j’ ose ainsi parler de moi, mais je ne parle pas de moi, ou je ne parle pas
33 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
36 On pourra peut-être payer encore la troupe : on n’ osera plus la commander. Schleicher dispose contre Hitler de toute la Reich
34 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
37 une protestation retentissante, que personne n’a osé faire taire. Son manifeste n’est pas seulement un témoignage courageu
35 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
38 Cingria, lequel n’est Suisse que par accident, j’ ose à peine dire par l’état civil. « Je n’ai pas de passeport ; je n’en a
36 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
39 t pas si complexes, en réalité, ou s’ils le sont, osons les simplifier. Ce qui est difficile, ce n’est pas de voir le vrai, c
40 difficile, ce n’est pas de voir le vrai, c’est d’ oser les actes qu’il faut, et que nous connaissons très bien. Trop souvent
37 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
41 à la prédication chrétienne un lyrisme qu’elle n’ osait plus aller chercher dans l’invective prophétique ou dans la joie de l
38 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
42 veut être digne de son nom, c’est à elle seule d’ oser ce que les autres ne peuvent pas oser. C’est à elle seule d’entrepren
43 lle seule d’oser ce que les autres ne peuvent pas oser . C’est à elle seule d’entreprendre la confrontation générale des vale
39 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
44 re ; mais comment le pourrait-il quand personne n’ ose se plaindre comme il sied à un homme ? Parle, élève la voix, parle fo
40 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
45 e rayson de l’espérance qui est en vous.15 » On n’ oserait pas affirmer que le protestant d’aujourd’hui, dans la moyenne, soit t
41 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
46 ime. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur Caïus Marius, telle est la vérité. Mais trois ou q
47 de mains. » Tout seul en face du Christ, un homme oserait -il s’avancer et cracher au visage du Fils de Dieu ? Mais qu’il soit f
48 ts gouvernent les vivants, c’est que nul vivant n’ ose vivre. Et comment vivrait-il sinon par l’appel de la Providence ? Et
49 deux raisons, je crois. Qui, d’abord, parmi nous, oserait affirmer que cette « catégorie » lui soit si familière qu’il puisse l
50 lait-il pas qu’il ait connu de grandes aides pour oser nous montrer la vanité de toutes les nôtres ? Somnium narrare vigilan
42 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
51 romanciers. La vérité, c’est que la bourgeoisie n’ ose plus défendre ses vrais buts, et préfère parler d’autre chose. Tous n
43 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
52 bien que la condition nécessaire, c’est d’abord d’ oser rompre avec des confusions qui sont peut-être d’un bon rendement élec
44 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
53 nt été composés les essais qu’on va lire. Et si j’ ose parler d’équivoque, c’est dans l’espoir qu’on voudra bien ne pas oubl
45 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
54 pas si complexes, en réalité, ou, s’ils le sont, osons les simplifier. Ce qui est difficile, ce n’est pas de voir le vrai, c
55 difficile, ce n’est pas de voir le vrai, c’est d’ oser les actes qu’il faut, et que nous connaissons très bien. Trop souvent
46 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
56 méprisant pour les sages et les faibles. Qui donc oserait le blâmer publiquement ? Qui donc oserait encourir la disgrâce de l’O
57 ui donc oserait le blâmer publiquement ? Qui donc oserait encourir la disgrâce de l’Opinion, comme Fénelon avait encouru celle
58 mme Fénelon avait encouru celle du Roi ? Qui donc oserait , comme cet évêque, s’adressant à Louis XIV, c’est-à-dire à l’État per
47 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
59 autres hésitent à défendre un pouvoir qui déjà n’ ose plus commander. Attaque improvisée, mauvaise conscience de la défense
48 1934, Politique de la personne. Appendice — 1. Liberté ou chômage ?
60 t plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’ osent pas la considérer en face. Tant qu’elle restait purement théorique, o
49 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
61 , ils trahissent leur pensée, leurs désirs, ils n’ osent pas dire, ils n’ont pas de formules pour avouer leur peine, pour dema
50 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 5. En dernier ressort
62 nt été composés les essais qu’on va lire. Et si j’ ose parler d’équivoque, c’est dans l’espoir qu’on voudra bien ne pas oubl
51 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
63 pas si complexes, en réalité, ou, s’ils le sont, osons les simplifier. Ce qui est difficile, ce n’est pas de voir le vrai, c
64 difficile, ce n’est pas de voir le vrai, c’est d’ oser les actes qu’il faut, et que nous connaissons très bien. Trop souvent
52 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
65 méprisant pour les sages et les faibles. Qui donc oserait le blâmer publiquement ? Qui donc oserait encourir la disgrâce de l’O
66 ui donc oserait le blâmer publiquement ? Qui donc oserait encourir la disgrâce de l’Opinion, comme Fénelon avait encouru celle
67 mme Fénelon avait encouru celle du roi ? Qui donc oserait , comme cet évêque, s’adressant à Louis XIV, c’est-à-dire à l’État per
53 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
68 autres hésitent à défendre un pouvoir qui déjà n’ ose plus commander. Attaque improvisée, mauvaise conscience de la défense
54 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 1. Liberté ou chômage ?
69 t plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’ osent pas la considérer en face. Tant qu’elle restait purement théorique, o
55 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
70 st plus niable. J’attends encore l’homme sain qui osera faire leur éloge ! Elles nous présentent chaque semaine dans leurs éc
56 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
71 am, le « père des croyants », c’est l’homme qui a osé l’absurde. Dieu lui a donné un fils, à l’âge de 70 ans. Il n’a pas ri
57 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
72 santes sanctions que leur énervement n’aurait pas osé déclencher. Nous vivons bel et bien sous le régime de la révocation d
58 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
73 u’on fait, c’est qu’on n’a pas d’expérience… Je n’ osais pas le dire, mais c’est ce que je sens profondément. Quand on entend
74 as ce droit ? J’ai fait une expérience de plus, j’ ose le dire ! Ah ! vous savez trop ce qu’elle est — l’expérience qu’on ne
75 ogue de Nicodème. Au point que tout d’abord, je n’ osai pas élever la voix. Je sentais cependant, que je devais dire certaine
76 eux sont des vivants et non des morts. Et comment osez -vous affirmer cette impossible exigence de la mort, si vous ne vivez
59 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
77 , et qu’il fut seul sans doute, dans ce siècle, à oser mesurer sans tricherie. Il s’effondre d’ailleurs dès qu’il comprend s
60 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
78 Trop de chefs nous crient : en avant ! sans avoir osé regarder plus loin que le bout des semelles de leurs bottes. Leur en
79 ier de l’action ? Et je demande encore : qui donc osera poser ces grandes questions dernières, si ce n’est le chrétien, dans
80 ne est en crise, parce que personne n’a su ou n’a osé prévoir l’aboutissement matériel et moral de la révolution industriel
81 que quelqu’un commence. Avoir une vocation, c’est oser être celui qui commence, malgré les doutes des suiveurs ; 2° vous pou
61 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
82 e une tentation fasciste, trop faible encore pour oser s’avouer ; à gauche une peur du fascisme assez forte déjà pour que la
62 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
83 oir la foule. Il faut donner un sens à sa vision. Oserons -nous dire que c’est la vocation d’Esprit ? Donner un sens à la vision
63 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
84 ujourd’hui, il n’y a plus que les pacifistes pour oser réclamer ouvertement la guerre (contre les régimes fascistes). « Orgu
64 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
85 is quelques mois dans les cercles antifascistes n’ oserait pas même imaginer. C’est un spectacle vraiment consternant que celui
86 ent le vrai but, dans une action de défense qui n’ ose pas préciser ce qu’elle défend, dans une ligue de brebis, de loups et
87 e Daladier qui croit le savoir ou de Cachin qui n’ ose pas le dire, je vous laisse à juger lequel est le plus dangereux ; ou
65 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
88 pacifique, somme toute, sportif, artistique si j’ ose dire ! Lui. — Eh bien, et maintenant ? Moi. — Je crois maintenant q
66 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
89 nds n’importe quelle règle d’action chrétienne, —  ose la mettre en pratique. L’action que tu introduiras ainsi dans la réal
90 puissance de l’homme : d’où l’impossibilité de l’ oser . Celui que la foi vint saisir sait maintenant que l’acte est le contr
67 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
91 Comment ce Saint-Esprit sera-t-il contrôlé, si j’ ose dire, et « différencié de la nature » des prélats, de leur époque et
92 n vivra éternellement » (Jean 6:55 et 6:59). On n’ ose pas demander aux catholiques ce qu’ils pensent réellement de cette… r
68 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
93 lus peur loin du combat qu’en pleine lutte.) Il n’ ose plus intervenir en force, s’imposer à ses risques et périls, reprendr
69 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
94 st plus niable. J’attends encore l’homme sain qui osera faire leur éloge ! Elles nous présentent chaque semaine dans leurs éc
70 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
95 es contradictoires dont aucune ne sait plus, ou n’ ose plus avouer à quelle fin elle conduit ses adeptes. Si vous ne faites
71 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
96 éoriquement) les dictatures sont en avance — on n’ ose dire en progrès — sur le socialisme. Elles sont le « dépassement » hé
72 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
97 es contradictoires dont aucune ne sait plus, ou n’ ose plus avouer à quelle fin elle conduit ses adeptes. Si vous ne faites
73 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
98 nète. Mais quelle législation, quelle méthode eût osé prévoir une telle crise ? qui eût osé pareil blasphème contre le Prog
99 méthode eût osé prévoir une telle crise ? qui eût osé pareil blasphème contre le Progrès nécessaire ? On oubliait que néces
74 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
100 eur contient une menace réelle pour l’homme qui l’ ose . Et c’est par là qu’une œuvre touche le spectateur ou le lecteur, qu’
101 lle attend de l’extérieur les violences qu’elle n’ ose pas initier. Elle attend avec une angoisse qui ressemble fort au dési
102 t héritées, ce que nul d’entre leurs censeurs n’a osé faire. Ils tentent de penser avec leurs mains : si ces mains sont bru
103 sonnel. Un siècle bourgeois comme fut le xixe , n’ osait imaginer de réalisations que sociales : car il faut bien qu’on s’y me
104 é, et notre acte serait comme un suicide, si nous osions agir, une seule fois, de toutes les forces que la foi nous offre. Nou
105 tacles plus grands et plus profonds. Sans doute n’ oserons -nous jamais les vaincre une fois pour toutes. Car un acte total, un o
106 temps tout se renverse. Chacun des actes que nous osons faire nous apparaît comme une création absolue. Chacune de nos victoi
107 a fois immédiat et transcendant de la personne. J’ oserai dire maintenant que la conquête de la personne — qu’elle aboutisse ou
75 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
108 te volonté humaine, bonne ou mauvaise. Alors, qui osera dire qu’il est trop tard ? Désespérer de la paix, c’est rendre une gu
76 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
109 es contradictoires dont aucune ne sait plus, ou n’ ose plus avouer à quelle fin elle conduit ses adeptes. Si vous ne faites
77 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
110 nète. Mais quelle législation, quelle méthode eût osé prévoir une telle crise ? qui eût osé pareil blasphème contre le Prog
111 méthode eût osé prévoir une telle crise ? qui eût osé pareil blasphème contre le Progrès nécessaire ? On oubliait que néces
78 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
112 eur contient une menace réelle pour l’homme qui l’ ose . Et c’est par là qu’une œuvre touche le spectateur ou le lecteur, qu’
113 lle attend de l’extérieur les violences qu’elle n’ ose pas initier. Elle attend avec une angoisse qui ressemble fort au dési
114 t héritées, ce que nul d’entre leurs censeurs n’a osé faire. Ils tentent de penser avec leurs mains : si ces mains sont bru
115 ’est-à-dire d’une culture et d’une économie qui n’ osent plus déclarer de mesure commune depuis cent-cinquante ans déjà. Nous
116 sonnel. Un siècle bourgeois comme fut le xixe , n’ osait imaginer de réalisations que sociales : car il faut bien qu’on s’y me
117 é, et notre acte serait comme un suicide, si nous osions agir, une seule fois, de toutes les forces que la foi nous offre. Nou
118 tacles plus grands et plus profonds. Sans doute n’ oserons -nous jamais les vaincre une fois pour toutes. Car un acte total, un o
119 temps tout se renverse. Chacun des actes que nous osons faire nous apparaît comme une création absolue. Chacune de nos victoi
120 a fois immédiat et transcendant de la personne. J’ oserai dire maintenant que la conquête de la personne — qu’elle aboutisse ou
79 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
121 ù le christianisme, aux yeux des masses, n’a plus osé se montrer chrétien. C’est que le sel a perdu sa saveur, et son amert
80 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
122 , la liberté. Mais cela n’apparaît qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la connaissance de soi-même et de la conn
123 -mêmes, dans notre péché. Et à l’inverse, il faut oser descendre jusqu’au fond de la connaissance du péché pour voir qu’il n
81 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
124 . Mais les capitalistes et les classes moyennes n’ osèrent , par égoïsme de classe, recourir à ce remède — fordiste, voire blumis
125 ion capitaliste s’accélère désormais plus qu’on n’ osait l’imaginer au xviiie . C’est elle qui appelle sinon l’invention du mo
82 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
126 s dangereusement tendancieux qu’un écrivain qui n’ ose pas affirmer sa tendance. La contagion du roman réaliste ou psycholog
83 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
127 , la liberté. Mais cela n’apparaît qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la connaissance de soi-même et de la conn
128 mêmes, dans notre péché. Et, à l’inverse, il faut oser descendre jusqu’au fond de la connaissance du péché pour voir qu’il n
84 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
129 possible. Où les partis qui se disent « avancés » osent le proposer comme objectif de « lutte ». Où la publication d’un commu
130 à l’usage des moujiks… Quel est l’homme sain qui oserait affirmer que ce quotidien lamentable, hérissé de clichés hargneux, tr
85 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
131 re » et sur celles de la gauche. (Car la droite n’ ose pas dire son nom dans ce canton.) Les partis de gauche ont fait liste
86 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
132 vail chez moi, des tas de choses à écrire… Elle n’ ose pas m’en demander davantage. Et moi, je recule devant l’entreprise de
133 personne, moi ! — il y a, dis-je, quelqu’un qui a osé prétendre que je suis un empoisonneur des consciences ! » Récit détai
134 e, tantôt pire que celle du chômeur normal — si j’ ose dire — jamais tout à fait pareille, et pourtant voisine. À défaut de
135 qui vaille mieux que la paix et le bonheur, pour oser bouleverser la petite vie de notre île. À noter et à souligner : Seul
136  s’il faut un exemple précis, c’est le seul que j’ ose donner —, je m’accorderais chaque année onze fois la somme dont j’ai
137 e retiens de cette journée deux impressions (je n’ ose pas en dire davantage : tout cela est encore moins clair dans la réal
138 communisme : il leur fallait cela sans doute pour oser parler de nouveau une langue large, utile et humaine… Auparavant, ils
139 devant le saut. Peut-être leur suffirait-il, pour oser , d’une vision précise de cet état qu’ils rêvent et craignent. Il me s
87 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
140 -dire utiles. Qualité et quantité, voilà ce que j’ ose froidement demander. Si j’ajoute qu’à mon sens, cela n’exclut nulleme
141 us ressemblant à sa vertu (ou à son vice) qu’il n’ oserait l’affirmer devant autrui. Le monologue du journal intime est un arti
142 , ils trahissent leur pensée, leurs désirs, ils n’ osent pas dire, ils n’ont pas de formules pour avouer leur peine, pour dema
143 possible. Où les partis qui se disent « avancés » osent le proposer comme objectif de « lutte ». Où la publication d’un commu
144 re » et sur celles de la gauche. (Car la droite n’ ose pas dire son nom dans ce canton.) Les partis de gauche ont fait liste
145 à l’usage des moujiks… Quel est l’homme sain qui oserait affirmer que ce quotidien lamentable, hérissé de clichés hargneux, tr
146 en le principe de la guérison que j’attends. Je n’ ose croire qu’il me soit bien utile de seulement le savoir… Si j’étais sû
88 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
147 est qu’ils n’ont plus aucune espèce de sens, je n’ ose pas dire : de la musique, mais de la saveur des sons et de la force d
89 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
148 personne, moi ! — il y a, dis-je, quelqu’un qui a osé prétendre que je suis un empoisonneur des consciences ! » Récit détai
149 qui vaille mieux que la paix et le bonheur, pour oser bouleverser la petite vie de notre île. À noter et à souligner : seul
150 e retiens de cette journée deux impressions (je n’ ose pas en dire davantage : tout cela est encore moins clair dans la réal
151 communisme : il leur fallait cela sans doute pour oser parler de nouveau une langue large, utile et humaine… Auparavant, ils
90 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
152 si le risque que l’acte institue pour celui qui l’ ose . Mais c’est précisément ce sentiment de malaise, lié à l’euphorie du
91 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
153 pensée militante que ce petit moine qui, à Worms, osa dresser contre l’opportunisme impérial et sacerdotal l’inflexible, l’
92 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
154 aire chez moi, des tas de choses à écrire… Elle n’ ose pas m’en demander davantage. Et moi, je recule devant l’entreprise de
155 devant le saut. Peut-être leur suffirait-il, pour oser , d’une vision précise de cet état qu’ils rêvent et craignent. J’ai pe
93 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
156 vail chez moi, des tas de choses à écrire… Elle n’ ose pas m’en demander davantage. Et moi, je recule devant l’entreprise de
94 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
157 sur les conditions actuelles — et actuantes si j’ ose dire — de l’œuvre littéraire dans la communauté. Il n’y a pas, et il
95 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
158 il suffit que l’on soit un bon soldat. Peut-être oserons -nous rappeler qu’il existe d’autres manières se servir son pays et d’
96 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au dossier d’une vieille querelle (novembre 1937)
159 sécurité. Ce serait une raison bien débile, qui n’ oserait s’exercer que sur du rationnel tout fait. S’il y a quelque part du ra
97 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
160 on définitive sur le pourcentage d’intérêt — si j’ ose dire — que manifestent les lecteurs allemands. Il existe d’autres mai
98 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
161 ’avenir, si nous cessons de nous énerver, si nous osons vivre la paix ? e. Rougemont Denis de, « Du danger de s’unir », Le
99 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
162 principe d’actualisation des phénomènes, ou si j’ ose dire : c’est la grâce efficace. Les choses ont tourné de telle sorte 
100 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
163 les recettes). Personne, que je sache, n’a encore osé dire que l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la négation pur