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émique avec le mystère, il arrive à certains de s’
oublier
jusqu’à donner de l’amour une ou plusieurs définitions. Ah ! puission
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e pluie d’orage sur la Concorde : « Et moi qui ai
oublié
mon masque à gaz ! C’était pourtant l’heure ! » 14 mai 1939 La grande
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ébouchant sur le ciel, la ville aux sept collines
oublie
la guerre, oublie l’Europe. Dans quatre jours, nous embarquons pour l
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iel, la ville aux sept collines oublie la guerre,
oublie
l’Europe. Dans quatre jours, nous embarquons pour l’Amérique. Mais ic
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te immense faudrait-il à ce siècle pour lui faire
oublier
son goût de la guerre ! Quel drame nouveau, pour remplacer, sur la sc
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bien. Ils m’irritent et m’agacent. Mais je ne les
oublie
pas.7 L’auteur. La mémoire des offenses est la plus sûre. Il me sem
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d’un usage. Mais il arrive assez souvent que l’on
oublie
les grandes et graves raisons qu’il y a de se taire, ou de parler seu
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paraît le gêner d’autant qu’il essaie de le faire
oublier
. D’où cet axiome de la critique moderne : un roman ne doit pas être «
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violent des Amériques. Vous alliez me dire que j’
oubliais
ce grand joueur de Boule que fut « Saint-Ex ». À Dieu ne plaise que j
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oule que fut « Saint-Ex ». À Dieu ne plaise que j’
oublie
jamais celui qui le premier me parla de la Planète comme d’un amour e
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e à la Bombe, selon l’axiome des militaires, sans
oublier
que leur expérience démontre qu’on ne pare jamais qu’un certain pourc
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46)s — Un dernier mot. (Et dire que j’allais l’
oublier
!) La Bombe n’est pas dangereuse du tout. — Êtes-vous fou ? De quoi d
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illet 1946, p. 1-2. aa. Sous-titre manifestement
oublié
par la rédaction, et rajouté par nous sur la base du texte paru dans
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ciel, la ville aux sent collines renie la guerre,
oublie
l’Europe. Dans quelques heures nous embarquons pour l’Amérique. Mais
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-moi vite de tes nouvelles, je suis inquiet, je n’
oublierai
jamais les nuits extraordinaires que nous avons encore pu passer ense