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ntons suisses avant 1848. Il ne faut pas non plus
oublier
les moyens techniques dont nous disposons à l’heure actuelle et qu’il
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édéralisme qui est très ancien. Il ne faut jamais
oublier
que la Suisse s’est fondée sur les communes, et non sur les cantons q
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a se fait en Europe. C’est très important et on l’
oublie
toujours. D’ailleurs, je reproche beaucoup aux femmes suisses d’avoir
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es, Édimbourg et Sofia, Varsovie et Madrid. C’est
oublier
que toutes nos langues (sauf le basque et le finno-ougrien) sont étro
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treints, à l’heure où la Suisse est tentée de les
oublier
et de trahir ainsi ses origines. La vocation de la Suisse est de reva
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« La culture est ce qui reste quand on a tout
oublié
», disait Édouard Herriot, homme politique bien oublié, mais qui rest
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é », disait Édouard Herriot, homme politique bien
oublié
, mais qui reste, précisément, par cette seule phrase sur la culture.
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l’information peut très bien disparaître, être «
oublié
» : il n’en sera pas moins retrouvé, « remémoré » par la réactivation
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treints, à l’heure où la Suisse est tentée de les
oublier
et de trahir ainsi ses origines. La Suisse est née de la fédération d
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ment revendiquée par Mai 68, mais si curieusement
oubliée
par les réformes qui ont suivi. ag. « Université et universalité »,
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c et la langue d’oïl, ancêtre de tous nos patois,
oubliés
certes mais sans doute actifs dans notre inconscient collectif… Il ne
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les dialectes savoyard, romand et franc-comtois,
oubliés
certes mais sans doute actifs dans notre inconscient collectif… Il ne
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s : les races sont mêlées, l’évolution historique
oubliée
(n’en restent que les marmites de l’Escalade), la majorité confession