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oins par suite de facteurs matériels que j’aurais
oubliés
ou ne saurais prévoir, qu’en vertu de nos libres décisions. (Ce n’est
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oins vain d’imaginer qu’on puisse l’éliminer ou l’
oublier
. Admettons que l’Europe, en la formant, ait « infecté » le monde enti
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is que l’Orient se jette sur nos techniques et en
oublie
ses valeurs propres, qui seraient celles dont nous aurions le plus gr
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citer que très peu de noms des plus connus ; sans
oublier
la fameuse Histoire d’O, les essais de Georges Bataille et de Pierre
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fous à la fois ridicules et dangereux. Mais je n’
oublie
pas que sans la discipline sexuelle que les tendances dites puritaine
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problème de l’érotisme ! Les auteurs érotiques l’
oublient
très naïvement, tout à leur passion poétique ou moraliste retournée,
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a production socialisée. Et cela, nos puritains l’
oublient
non moins souvent. La littérature érotique embrasse plus de réalités
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ment traversables. En proportion de sa surface, n’
oublions
pas que l’Europe a les plus longues côtes (7 000 km de plus que l’Afr
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fin sortie des cabinets d’études et de l’école. N’
oublions
donc pas, sur la place, la présence du kiosque à journaux, point d’in
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ressuscite inlassablement bien plus de traditions
oubliées
par leurs peuples que nos armées et nos missions n’en ont jamais détr
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e aux États-Unis. Il ne faudrait tout de même pas
oublier
que ces ouvrages datent du xviiie siècle. Ce qui est nouveau, c’est