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r conduit à Hitler : il suffit, pour y arriver, d’
oublier
quelques faits importants. Il suffit d’oublier, par exemple, que le F
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d’oublier quelques faits importants. Il suffit d’
oublier
, par exemple, que le Führer autrichien n’est pas né luthérien mais ca
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de. Les Américains en écoutent énormément, et les
oublient
le lendemain. J’ai donc écrit un livre sur la Suisse, en collaboratio
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t ces groupes avec l’intransigeance nécessaire. N’
oublions
pas que les cités qui ont fait la Renaissance en Italie, en Flandres
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s, est essentiellement une réalité économique, on
oublie
que notre économie n’est pas tombée du ciel ni sortie du sol, et qu’e
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avions appris toute la chimie et n’en avions rien
oublié
, nous ne saurions qu’un dixième de ce qu’elle est aujourd’hui. Ces do
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els, auberges, marché, boutiques, chapelles, sans
oublier
plusieurs terrasses de café. Dans le centre aussi, un groupe de bâtim
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ité à venir que le « dictateur… ». (Mais j’allais
oublier
de dire que « C.J.B. », l’homme dont la stature est imposante, est au
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chaque lecteur. Je sais bien les images que je n’
oublierai
plus, que j’aimerais évoquer ici, mais beaucoup ne sont pas de celles
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es dehors trop polis. Une fois fermé le livre, on
oublie
son intrigue et la justesse de l’analyse pour ne plus évoquer que des
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lqu’un que l’on sentait si naturellement prêt à s’
oublier
lui-même ? C’est sans nul doute à la très amicale et délicate insista
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ns, obsédés par l’idée de « se faire respecter »,
oublient
qu’ils n’y arriveraient qu’en se rendant utiles. Ils exigent, depuis
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, la Suisse ne va-t-elle pas s’y perdre ? — C’est
oublier
ce qu’est la Suisse. Dans une Europe unie, loin de se perdre, elle se