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9. Si je pouvais écarter la magie de mon chemin
Oublier
tout à fait les formules d’enchaînement Si j’étais devant toi, ô natu
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e de cette surprise, place aussitôt une citation,
oublie
d’avoir raison, et nous laisse admirer cette prose de la Renaissance
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uis vous partez écrire dans les bois. » On allait
oublier
l’écrivain. Il est là, adossé à un pin, avec sa chemise bleue, ses cu
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resser ses limites charnelles et temporelles, à s’
oublier
en Dieu, son principe ». La question est alors de savoir s’il existe
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le qualifient de « métaphysicien du néant », ils
oublient
de dire que le néant, dont ils lui prêtent ainsi le goût, est justeme
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aut des repères pour juger. La critique moderne l’
oublie
un peu, animée d’une méfiance étrange pour celui qui déclare ses vale
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de l’anarchie où il se plaît, ce grand seigneur n’
oublie
jamais son rang. Son naturel, c’est le mépris ; rien n’est plus loin
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eurs qu’il ne comble les amateurs de beaux poèmes
oubliés
. Toutes ces tentatives constituent, pour reprendre une heureuse expre
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Zweig, Valéry. Et les quatre langues suisses — n’
oubliez
pas le ladin des Grisons — viennent dire au dessert leur couplet. Ce
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rplexité ? Le paradoxe n’est qu’apparent. Qu’on n’
oublie
pas sa formation chrétienne ; ses lectures prolongées et sans cesse r