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on. C’est ce que l’époque bourgeoise semble avoir
oublié
, et le prolétariat hérite de cette erreur. Si la culture est tout d’a
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as, n’a pas non plus le vrai sens de la vie. Je n’
oublie
pas que l’humour consiste aussi, sinon d’abord, à se moquer de soi-mê
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iciellement une « langue nationale » parfaitement
oubliée
depuis longtemps, afin de mieux prouver leur raison d’être. Nationali
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te rhétorique émeut des millions d’hommes, qui en
oublient
du même coup leurs rudiments d’histoire. J’ai dit que la frénésie pse
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régions nouvelles de l’âme, même lorsqu’elles en
oublient
le vrai but et l’enjeu. Ainsi, les hérésies jaillissent de la vraie f
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le Soleil ne parvient plus — et l’on finit par l’
oublier
ou le nier — peut-être fallut-il ce dernier sacrifice, cette longue i
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e telle consistance à l’industrie de l’auto qu’on
oublie
qu’elle est née d’un fantasme (au sens précis de la psychanalyse). D’
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oins par suite de facteurs matériels que j’aurais
oubliés
, ou ne saurais prévoir, qu’en vertu de nos libres décisions. (Ce n’es
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es dictatures finissent mal. Avions-nous vraiment
oublié
cette leçon simple de l’Histoire, trop claire sans doute pour qu’on y
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scrupuleusement pratiquée. Il en abuse lorsqu’il
oublie
les conditions historiques et concrètes de son statut de neutralité,
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mité d’hypothèses et de combinaisons. Tel facteur
oublié
peut devenir décisif, telle hypothèse se révéler fausse. Ce qu’en rev
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procédé n’est bon que pour les députés. A. — Vous
oubliez
le président américain. R. — Là, vous marquez un point. Ce mélange de
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ur veiller sur la sécurité du district fédéral, n’
oublions
pas que la vocation plusieurs fois séculaire des troupes suisses fut
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dre ou de scandaliser les étrangers. C’est qu’ils
oubliaient
l’origine, l’acte initial et fondateur de la première des Républiques
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lotte sur Hambourg et que la jeunesse allemande a
oublié
les Camps, en déduit dans l’Express que les « Européens » sont insond
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. Vous trouvez fort que la jeunesse allemande ait
oublié
ses devanciers bottés. Mais songez qu’on n’enseigne pas l’histoire to
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seule sentence énigmatique à méditer, sans jamais
oublier
le risque du coup de bâton appliqué par le maître au disciple, si ce
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u pendant dix ans, deviens bambou toi-même, puis,
oublie
tout et peins. » (Problème de la limite entre existence et art, ou de
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s au processus historique. » Au reste, on n’a pas
oublié
l’avertissement de K. dans son fameux article de la revue Foreign Aff
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çon si diabolique que je ne pourrai plus jamais l’
oublier
. C’est elle qui m’a poussé, comme Elvire, hors de la nuit tranquille
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d’un charme individuel. Des coutumes ancestrales,
oubliées
depuis des siècles, sont subitement réactivées par sa qualité d’Étran
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insi, en chacun de nous à ses heures. C’est qu’il
oublie
qu’une femme n’est pas une pomme. Et qu’elle en voudra mortellement à
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é sans vérité. Comme Nietzsche l’indique — pour l’
oublier
tout aussitôt lorsqu’il attaque l’esprit chrétien, métaphysique et as
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e inépuisable d’alléchantes manchettes ». Il fait
oublier
les crimes nazis, « Oradour et Auschwitz », que l’auteur semble donc
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ans l’un ou l’autre cas, cui bono ? Mais j’allais
oublier
le plus beau. M. Dehem se plaint : « On m’a littéralement proscrit po
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la santé, une maladie déclarée, ou la mort. Je n’
oublie
pas que le discours est d’une logique plus exigeante que l’histoire r
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edisent d’ailleurs deux à deux. Mon dessein, ne l’
oublions
pas, est à mi-chemin entre une initiative prise par la Suisse et une
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tout, ou presque tout, à part épistémologie, j’ai
oublié
et le mot m’agace … Inanité par contre me plaît beaucoup. Mais il y a
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ns, obsédés par l’idée de « se faire respecter »,
oublient
qu’ils n’y arriveraient qu’en se rendant utiles. Ils exigent, depuis