1 sommeil ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très longtemps, très longtemps… Et pas de Lune ce so

2 et fades. Cette société n’a peut-être pas encore oublié que la race s’oppose à l’individu. Ici, plus qu’ailleurs, l’originali

3 , insignifiante. Tout se dégrade en amabilités. N’ oublions pas que l’on a réuni tant de richesses de tous les ordres — pour rien

4 ix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées , mais je sais que la nuit va s’éteindre. L’un m’a soufflé quelque cho

5 lite l’étrangeté de son éclat. Alors je m’en vais oublier le But de mon voyage, — qui est sa cause. Je vais feindre de prendre

6 table des huit reflets de leur dignité. Mais je n’ oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personne

7 ntre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier ce qui est lent ou fixe ou pas à pas. Tout s’épanouit dans un monde r

8 e mon être véritable. Seul au milieu des miens, j’ oubliais ma race, j’avais l’illusion de n’être rien que… moi-même. Identique à

9 de grandes choses généreuses autour d’eux… Cela s’ oublie . Et l’amour, tout justement, nous fait comprendre, dans le temps même

10 n contenterai doucement. Comme si j’avais presque oublié . — « Seul et séparé », ces deux mots que rythmait le train, est-ce qu

11 envoie le capitaine au château puis songe qu’il a oublié la clef de l’armoire aux confitures. (Je crois qu’il y a dans cette a

12 Club (1930) Pour Albert Béguin. Paris la nuit oublie parfois d’être spirituelle, devient tragique ou tout simplement germa

13 ition même de la luxure ? Quand je vais à pied, j’ oublie en chemin les meilleures phrases que j’avais préparées pour subjuguer

14 s Petit égaré, en ayant soin d’ajouter ceux que j’ oublie , vous obtiendrez le chiffre exact des participants ; calculez l’âge d