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vu, au beau milieu de leurs calculs : ils avaient
oublié
l’humanité de l’homme, et tout échoue devant une révolte qui leur par
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ui est dans la pensée. Politiciens ou clercs, ils
oublient
ce qu’est l’homme. Ils ont perdu de vue sa définition même. Leur poin
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que, c’est dans l’espoir qu’on voudra bien ne pas
oublier
les raisons qui m’empêchent honnêtement d’en sortir. Une équivoque dé
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e. On se passionne pour des moyens, et c’est pour
oublier
les fins dernières. Pourtant la seule politique vraie serait celle do
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C’était l’homme qu’il fallait refaire. Nous avons
oublié
ce fait très simple : que la société doit être composée d’hommes réel
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s sommes au monde pour quelque chose », mais elle
oublie
que ce quelque chose, notre activité, ne vaut rien pour notre salut.
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ller à établir le Royaume sur la terre, mais elle
oublie
que cela nous est à jamais impossible. C’est le principe de cet activ
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. Il faut, hélas ! que les chrétiens l’aient bien
oublié
, pour qu’ils admirent avec nostalgie l’enthousiasme soulevé par la co
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e. Il faut aussi, d’autre part, qu’ils aient bien
oublié
et bien perdu la lucidité d’un La Rochefoucauld et de l’école des mor
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me souverain d’une hiérarchie intangible, et l’on
oublie
qu’un souverain, fût-il de droit divin — et peut-être surtout dans ce
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c’était vrai, ça se verrait », dit le peuple. N’
oublions
pas que l’intellectuel d’aujourd’hui est avant tout un incroyant. Il
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autant que de rénovation : à condition qu’on ne l’
oublie
pas en route, et qu’on sache pousser à fond son enseignement préalabl
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des modèles d’importation récente. Il ne faut pas
oublier
que la France est le pays qui a vu le plus grand nombre de révolution