1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 , et de sa richesse réelle.   Propagande. — Nous oublions trop souvent que la propagande hitlérienne flatte un des goûts profon
2 st plus dangereux aussi. Lui. — Bien sûr. Mais n’ oubliez pas que nous avons fait notre révolution, nous. Nous avons un autre p
3 ses confessant leur fidélité lui répondit. » Je n’ oublierai plus ce « cri », cette clameur instantanée de 40 000 humains dressés
4 . Communauté, égalité et pain pour le Peuple. N’ oublions pas, dans nos démocraties, que la grande majorité du peuple allemand
5 commode, et inhumain. De l’accepter au point de l’ oublier . Aux débuts de l’automobile, qui aurait cru qu’en une vingtaine d’ann
6 l’effort pathétique du voisin. Vieille histoire, oubliée chaque jour. Quand je vois ces Allemands résignés mais obscurément sa
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
7 as de beurre, dit-on en France d’un air malin. On oublie que le mot est de Goering lui-même. « Du beurre ou des canons », c’es