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rdé le droit de chasser qu’un gibier léonin. Sans
oublier
d’ailleurs que, selon le mot de Luther, nous croyons jouer à la chass
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4. Si je pouvais écarter la Magie de mon chemin,
Oublier
tout de ses enchantements. Je ne serais. Nature ! devant toi rien qu’
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pèce de jeunesse des hautes ramures, n’allons pas
oublier
que les sucs dont il a fait cette splendeur au loin visible, il les t
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sont des vices de populace », disait Goethe. Je n’
oublie
pas, d’ailleurs, ce mot d’un bon observateur des choses politiques, W
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es soucis publics comme on va voir un film pour s’
oublier
dans un drame fictif, cet homme que la lecture de son journal effraie
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leurs formules se recoupent. Mais il ne faut pas
oublier
que Kafka ne s’est jamais expliqué, et qu’il est mort sans avoir pu d
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iel et tout arbitraire des antithèses ». L’auteur
oublie
que Luther a simplement paraphrasé. I Cor. IX : « Bien que libre en t
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iture est attesté par cent pages du Journal. Je n’
oublie
pas qu’il a coupé les morceaux trop « écrits » à son gré. Mais ce qui
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eil de la culture les sépare. Mais il ne faut pas
oublier
que la culture de notre temps n’est plus du tout ce qu’elle était au
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tion — tellement vulgarisée de nos jours qu’on en
oublie
l’origine mystique. « Le poète et le rêveur sont passifs, ils écouten
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-même, — à cause de cette blessure qu’il s’agit d’
oublier
si l’on ne parvient pas à l’expier. Et en effet, à la faveur de cet o
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e passion nouvelle ! Et de même que le romantique
oubliait
son moi détesté en se perdant dans les fêtes du rêve, l’Allemand moye
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perdant dans les fêtes du rêve, l’Allemand moyen
oubliera
ses misères et les humiliations de sa patrie en se perdant dans l’âme