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mentaires, exigent et supposent un avenir. Nous l’
oublions
souvent, dans notre vie individuelle. Les statistiques nous le rappel
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e pluie d’orage sur la Concorde : « Et moi qui ai
oublié
mon masque à gaz ! C’était pourtant l’heure H ! » 14 mai 1939 L
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ique, dans sa réalité qui nous met en question, n’
oublions
pas que toute réalité, à toute époque de l’histoire des hommes, est a
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fantastique. Mais je m’aperçois un peu tard que j’
oubliais
de citer sa devise, inscrite au coin de quelques-uns de ses dessins :
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on pas quelques chambres à louer ? Sans eux, l’on
oublierait
la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses, à la piscine, dans
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ciel, la ville aux sept collines renie la guerre,
oublie
l’Europe. Demain nous embarquons pour l’Amérique. Mais ici je fais le
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idemment, mon cas se présente mal. J’ai peut-être
oublié
l’essentiel… Il faudrait être fou, je le comprends enfin, pour croire
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iant. Les unes comme les autres, d’ailleurs, sont
oubliées
l’instant d’après, ou confondues avec n’importe quoi, que n’importe q
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sciste, nazi ou soviétique. Je crois bien qu’elle
oublie
que les vagues n’ont jamais rien fait avancer, qu’elles se soulèvent
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’en retire qu’un sérieux mal de mer. Et peut-être
oublie-t
-elle aussi que l’Angleterre rules the waves malgré tout, sauvant ains
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est seul, Manhattan est sublime. Il n’y a qu’à s’
oublier
dans l’énergie fusante de cette capitale du matin. 28 novembre 194
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climat normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’
oublient
pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète, est une excep
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s au vent vers l’Europe et la guerre… 14. Je n’
oublie
pas celui du général de Gaulle à la radio de Londres, le 18 juin 1940
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ew York et Chicago, Pittsburg sans doute. Qu’on n’
oublie
pas l’esprit qui règne encore sur les forêts et sur les lacs innombra
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es autres en dépendent — il s’agirait de ne pas l’
oublier
à chaque instant. Je n’ai donc pas décrit l’Amérique telle qu’elle es
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s a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté
oubliée
. Mais que dire de la foule que j’ai vue le lendemain aux trottoirs de