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en France : quelques mois et j’étais acclimaté. J’
oubliais
que le pays n’était pas le mien. C’était l’Europe. C’est ici l’Amériq
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ew York City par 270 000 voix de majorité. » Je n’
oublierai
pas la rumeur qui monta lentement des masses, à mesure que la nouvell
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submerger le square comme une marée de joie. Je n’
oublierai
pas le bonheur brillant dans tous ces yeux levés, la fraternisation g
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escaliers, ni vous asseoir dans vos fauteuils. N’
oubliez
jamais cet exemple ! » Et je l’appliquais à leur démocratie. Je me di
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era simplement volcanique… Ainsi pensais-je. Et j’
oubliais
que les gangsters de Chicago avaient été réduits par l’effort conjugu
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livre tapé à tour de bras pendant la traversée. J’
oubliais
de dire qu’il a généralement autant de talent que d’assurance. Mais i
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rythmes habituels de notre vie. C’est dire qu’ils
oublient
ou refusent de prendre avantage des possibilités uniques du cinéma. L
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écrivain qui se propose de l’atteindre. Peut-être
oublieront
-ils souvent d’aller au-delà de ce stade préalable et de conclure, c’e
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nde, Suède comprise. Mais ce que les statistiques
oublient
de noter, c’est qu’on y divorce d’une manière tout à fait différente.
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nt à l’appui de cette thèse ; mais il ne faut pas
oublier
l’influence beaucoup plus directe et contrôlable du cinéma et des com
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ont des anciens Européens. Des gens qui ont voulu
oublier
leur patrie (pays des pères ou Vaterland) pour habiter une puérie (pa
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surtout ne pas l’être, mais cela ne suffit pas. N’
oubliez
jamais que l’Amérique est un pays d’immigration, non de tourisme. Ell
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vu, ce qui est mal vu ; et qui est parfois, ne l’
oublions
pas, moins important que ce qui passe inaperçu. C’est dans ce dernier