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à certes ont raison ; mais ils ont souvent tort d’
oublier
que l’avenir de notre santé suppose, comme première condition, de sau
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moins. Elles sont devenues si naturelles que nous
oublions
qu’elles existent. Elles sont l’air que nous respirons. Si nous senti
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êtes officiellement contents et satisfaits… Elles
oublient
que l’homme ne sera jamais content s’il n’a plus le droit de se dire