1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 e style moderne, original et assez saisissant — n’ oublions pas que Le Corbusier est Suisse — et ce que je dis de Fribourg, il fa
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 , il est certain que son jugement est excessif. N’ oublions pas en effet que Rousseau, qui avait tâté en France d’une tyrannie pl
3 aux violences d’imagination et d’action. Mais on oublie que la Suisse est l’un des pays qui a exporté le plus de têtes chaude
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
4 a rendu cette notion familière aux Suisses. Ils n’ oublient jamais que leurs cantons sont antérieurs à la Confédération, qui a ré
5 e distinguent par un esprit d’entreprise qui fait oublier leur effectif restreint, et qui reflète la personnalité de leur chef,
4 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
6 tantes que l’on peut faire ne doivent pas laisser oublier le fait déjà remarquable que le peuple suisse est acquis au respect e
7 « patois de Chanaan ») dont l’habitude seule fait oublier le manque de sobriété. L’organisation des églises protestantes est ca
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
8 ant qui, par son énergie et sa diversité, faisait oublier la petitesse du pays… Je confiai mes bagages à l’office postal et déc
9 yrans, dont d’autres pays firent les frais. C’est oublier que la volonté de neutralité s’accorde en Suisse avec une obligation