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i-même, pour éviter de s’avouer responsable. Ne l’
oublions
pas : le chrétien est celui qui croit au transcendant, donc aussi cel
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i probablement n’ont pas dû mourir sans raison. N’
oublions
pas que le gothique était moderne au Moyen Âge. Il nous faut un culte
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t à leur penchant immémorial et bien connu, s’ils
oublient
que le Dieu qu’ils servent est un Dieu qui se nomme « jaloux », les P
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ir religieux du monde. Dès qu’il était tenté de s’
oublier
dans les voies vulgaires des autres peuples, une sorte de génie sombr
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ler des livres « comme tout le monde » et à faire
oublier
leur « spécialité ». Mon idée serait bien plutôt d’exiger des critiqu
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sence de l’Esprit dans la genèse de son œuvre. Il
oublie
que le style d’un écrit transmet pour son compte et par lui-même un «
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ntérieure, et finalement, de la non-vérité. C’est
oublier
que ce qu’on perçoit, dans l’œuvre d’art, ce sont d’abord les moyens
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’elle lui apparaissait dans le corps social. Je n’
oublie
pas que la même époque a vu le grand réveil piétiste. 28. « L’armée
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e. » Phrase importante à l’extrême ! Mais combien
oubliée
par le communiste moyen de nos jours ! 30. Selon Karl Barth, par exe
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uchant dans la culture des masses. En revanche, n’
oublions
jamais que la culture pure, la recherche pure, est l’origine réelle d
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é-axe les vérités égarées dans les deux camps. (N’
oublions
pas que l’on combat, de part et d’autre, sans grand espoir, mais avec
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llumination fulgurante, l’illusion que le facteur
oublié
, refoulé et nié en dépit du bon sens, dès l’instant qu’on le produit
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st pas de compenser nos maux ou de nous les faire
oublier
, mais d’orienter tout l’être vers la vérité, et d’affirmer une vérité
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er pour autant les valeurs chrétiennes d’origine,
oubliées
au cours du transport. Je me résume : une machine-outil n’a jamais co