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qui précède n’est que ténèbres. Le Suisse moyen
oublie
seulement que 1291, cela se situe tout à la fin du deuxième tiers de
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inq siècles la réalité du pacte latin, totalement
oubliée
, puis ignorée, et cependant seule base sûre de tout le développement
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des Alliés, avec une passion exigeante41. Qu’on n’
oublie
pas toutefois que la guerre de 1914 ne mettait pas en cause l’essence
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a rendu cette notion familière aux Suisses. Ils n’
oublient
jamais que leurs communautés cantonales — leurs vraies patries — sont
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ant qui, par son énergie et sa diversité, faisait
oublier
la petitesse du pays… Je confiai mes bagages à l’office postal et déc
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naturellement l’honnêteté, tendrait à nous faire
oublier
que la correction, la décence, et la sécurité des citoyens sont de pu
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te qu’ils expriment l’âme de leur patrie, mais on
oublie
qu’ils l’ont créée d’abord (bien que dans un langage donné, qui exist
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fantastique. Mais je m’aperçois un peu tard que j’
oubliais
de citer sa devise, inscrite au coin de quelques-uns de ses dessins :
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que le dictateur « prestigieux »… (Mais j’allais
oublier
de dire que « CJB » est aussi un conteur fascinant, un humoriste redo
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ex universitaire. C’est vrai, mais il ne faut pas
oublier
que c’était encore plus vrai il y a cent ans, et que ce l’est chaque
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tantes que l’on peut faire ne doivent pas laisser
oublier
le fait déjà remarquable que le peuple suisse est acquis au respect e
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(« patois de Canaan ») dont l’habitude seule fait
oublier
le manque de sobriété. L’organisation des Églises protestantes est ca
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la santé, une maladie déclarée, ou la mort. Je n’
oublie
pas que le discours est d’une logique plus exigeante que l’histoire r
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edisent d’ailleurs deux à deux. Mon dessein, ne l’
oublions
pas, est à mi-chemin entre une initiative prise par la Suisse et une