1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
1 , insignifiante. Tout se dégrade en amabilités. N’ oublions pas que l’on a réuni tant de richesses de tous les ordres — pour rien
2 ix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées , mais je sais que la nuit va s’éteindre. L’un m’a soufflé quelque cho
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 table des huit reflets de leur dignité. Mais je n’ oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personne
4 ntre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier ce qui est lent ou fixe ou pas à pas. Tout s’épanouit dans un monde r
5 e mon être véritable. Seul au milieu des miens, j’ oubliais ma race, j’avais l’illusion de n’être rien que… moi-même. Identique à
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
6 de grandes choses généreuses autour d’eux… Cela s’ oublie . Et l’amour, tout justement, nous fait comprendre, dans le temps même
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
7 n contenterai doucement. Comme si j’avais presque oublié . — « Seul et séparé », ces deux mots que rythmait le train, est-ce qu
8 envoie le capitaine au château puis songe qu’il a oublié la clef de l’armoire aux confitures. (Je crois qu’il y a dans cette a
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
9 es fenêtres. Ô liberté des villes ! Mais ne point oublier qu’à Paris, c’est chez soi, dans les petits deux-pièces, que l’on sou
10 savoir avec qui ils sont d’accord. Il ne faut pas oublier que nous vivons à une époque de propagande forcenée, et je vous assur
11 e lendemain nous le trouvions mort. Et je l’avais oublié là, sans sépulture, caché sous des feuillages brunis. Si j’ajoute que
12 ardente » ! 6 mai 1934 La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris. La nuit des villes n’est pas cette mort opaque dont il faut
13 gaspillage dans les gestes instinctifs, — car ils oublient souvent de piquer ce qu’ils viennent de déterrer si furieusement. Com
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
14 anderas bien un espécialiste rappelle-toi ! Si tu oublies , tu n’auras qu’à te rappeler épicerie. » Épicerie pour spécialiste, v
15 « améliorations » du train de ménage. Après, l’on oublie d’expliquer pourquoi ces conditions étant remplies, les bourgeois ne
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
16 : voilà ce Paris de juillet que toute la province oubliait , des blés de Beauce aux plages de l’Océan, voilà le cœur crispé, le c
17 ureux Henri Suso : Quand tu es parmi les hommes, oublie tout ce que tu vois ou entends, et tiens-toi seulement à ce qui s’est
18 par quelque beauté entrevue. Et je me répétai : «  Oublie tout ce que tu vois et tiens-toi seulement à ce qui s’est révélé à to
19 peut être la même chose : regarder pour aimer, et oublier ce que l’on voit. Août 1935 Le voisin intolérable. — En face d
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
20 e et de sa richesse réelle.   Propagande. — Nous oublions trop souvent que la propagande hitlérienne flatte un des goûts profon
21 st plus dangereux aussi. Lui. — Bien sûr. Mais n’ oubliez pas que nous avons fait notre révolution, nous. Nous avons un autre p
22 asses confessant leur fidélité lui répondit. Je n’ oublierai plus ce « cri », cette clameur instantanée de 40 000 humains dressés
23 e. Communauté, égalité et pain pour le Peuple. N’ oublions pas, dans nos démocraties, que la grande majorité du peuple allemand
24 commode, et inhumain. De l’accepter au point de l’ oublier . Aux débuts de l’automobile, qui aurait cru qu’en une vingtaine d’ann
25 l’effort pathétique du voisin. Vieille histoire, oubliée chaque jour. Quand je vois ces Allemands résignés mais obscurément sa
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
26 as de beurre, dit-on en France d’un air malin. On oublie que le mot est de Goering lui-même. « Du beurre ou des canons », c’es
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
27 mentaires, exigent et supposent un avenir. Nous l’ oublions souvent, dans notre vie individuelle. Les statistiques nous le rappel
28 e pluie d’orage sur la Concorde : « Et moi qui ai oublié mon masque à gaz ! C’était pourtant l’heure H ! » 14 mai 1939 L
29 ique, dans sa réalité qui nous met en question, n’ oublions pas que toute réalité, à toute époque de l’histoire des hommes, est a
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
30 fantastique. Mais je m’aperçois un peu tard que j’ oubliais de citer sa devise, inscrite au coin de quelques-uns de ses dessins :
31 s d’autre espoir que son travail. Que les Suisses oublient donc leurs divisions partisanes. Venus de tous les points de l’horizo
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
32 on pas quelques chambres à louer ? Sans eux, l’on oublierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses, à la piscine, dans
33 ciel, la ville aux sept collines renie la guerre, oublie l’Europe. Demain nous embarquons pour l’Amérique. Mais ici je fais le
34 idemment, mon cas se présente mal. J’ai peut-être oublié l’essentiel… Il faudrait être fou, je le comprends enfin, pour croire
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
35 iant. Les unes comme les autres, d’ailleurs, sont oubliées l’instant d’après, ou confondues avec n’importe quoi, que n’importe q
36 ciste, nazi ou soviétique. Je crois bien qu’elle oublie que les vagues n’ont jamais rien fait avancer, qu’elles se soulèvent
37 ’en retire qu’un sérieux mal de mer. Et peut-être oublie-t -elle aussi que l’Angleterre rules the waves malgré tout, sauvant ains
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
38 est seul, Manhattan est sublime. Il n’y a qu’à s’ oublier dans l’énergie fusante de cette capitale du matin. 28 novembre 194
39 climat normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’ oublient pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète, est une excep
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
40 maison en soi, posée sur les terrasses. 94. Je n’ oublie pas celui du général de Gaulle à la radio de Londres, le 18 juin 1940
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
41 ew York et Chicago, Pittsburg sans doute. Qu’on n’ oublie pas l’esprit qui règne encore sur les forêts et sur les lacs innombra
42 tout, ou presque tout, à part épistémologie, j’ai oublié et le mot m’agace… Inanité par contre me plaît beaucoup. Mais il y a
43 es autres en dépendent — il s’agirait de ne pas l’ oublier à chaque instant. Je n’ai donc pas décrit l’Amérique telle qu’elle es
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
44 ourrais rester moi aussi, laisser partir l’avion, oublier l’autre vie. Rien de plus facile. Rester assis dans la rêverie, repre
45 s a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté oubliée . Mais que dire de la foule que j’ai vue le lendemain aux trottoirs de