1
, insignifiante. Tout se dégrade en amabilités. N’
oublions
pas que l’on a réuni tant de richesses de tous les ordres — pour rien
2
ix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt
oubliées
, mais je sais que la nuit va s’éteindre. L’un m’a soufflé quelque cho
3
table des huit reflets de leur dignité. Mais je n’
oublierai
pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personne
4
ntre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à
oublier
ce qui est lent ou fixe ou pas à pas. Tout s’épanouit dans un monde r
5
e mon être véritable. Seul au milieu des miens, j’
oubliais
ma race, j’avais l’illusion de n’être rien que… moi-même. Identique à
6
de grandes choses généreuses autour d’eux… Cela s’
oublie
. Et l’amour, tout justement, nous fait comprendre, dans le temps même
7
n contenterai doucement. Comme si j’avais presque
oublié
. — « Seul et séparé », ces deux mots que rythmait le train, est-ce qu
8
envoie le capitaine au château puis songe qu’il a
oublié
la clef de l’armoire aux confitures. (Je crois qu’il y a dans cette a
9
es fenêtres. Ô liberté des villes ! Mais ne point
oublier
qu’à Paris, c’est chez soi, dans les petits deux-pièces, que l’on sou
10
savoir avec qui ils sont d’accord. Il ne faut pas
oublier
que nous vivons à une époque de propagande forcenée, et je vous assur
11
e lendemain nous le trouvions mort. Et je l’avais
oublié
là, sans sépulture, caché sous des feuillages brunis. Si j’ajoute que
12
ardente » ! 6 mai 1934 La nuit ! Je l’avais
oubliée
à Paris. La nuit des villes n’est pas cette mort opaque dont il faut
13
gaspillage dans les gestes instinctifs, — car ils
oublient
souvent de piquer ce qu’ils viennent de déterrer si furieusement. Com
14
anderas bien un espécialiste rappelle-toi ! Si tu
oublies
, tu n’auras qu’à te rappeler épicerie. » Épicerie pour spécialiste, v
15
« améliorations » du train de ménage. Après, l’on
oublie
d’expliquer pourquoi ces conditions étant remplies, les bourgeois ne
16
: voilà ce Paris de juillet que toute la province
oubliait
, des blés de Beauce aux plages de l’Océan, voilà le cœur crispé, le c
17
ureux Henri Suso : Quand tu es parmi les hommes,
oublie
tout ce que tu vois ou entends, et tiens-toi seulement à ce qui s’est
18
par quelque beauté entrevue. Et je me répétai : «
Oublie
tout ce que tu vois et tiens-toi seulement à ce qui s’est révélé à to
19
peut être la même chose : regarder pour aimer, et
oublier
ce que l’on voit. Août 1935 Le voisin intolérable. — En face d
20
e et de sa richesse réelle. Propagande. — Nous
oublions
trop souvent que la propagande hitlérienne flatte un des goûts profon
21
st plus dangereux aussi. Lui. — Bien sûr. Mais n’
oubliez
pas que nous avons fait notre révolution, nous. Nous avons un autre p
22
asses confessant leur fidélité lui répondit. Je n’
oublierai
plus ce « cri », cette clameur instantanée de 40 000 humains dressés
23
e. Communauté, égalité et pain pour le Peuple. N’
oublions
pas, dans nos démocraties, que la grande majorité du peuple allemand
24
commode, et inhumain. De l’accepter au point de l’
oublier
. Aux débuts de l’automobile, qui aurait cru qu’en une vingtaine d’ann
25
l’effort pathétique du voisin. Vieille histoire,
oubliée
chaque jour. Quand je vois ces Allemands résignés mais obscurément sa
26
as de beurre, dit-on en France d’un air malin. On
oublie
que le mot est de Goering lui-même. « Du beurre ou des canons », c’es
27
mentaires, exigent et supposent un avenir. Nous l’
oublions
souvent, dans notre vie individuelle. Les statistiques nous le rappel
28
e pluie d’orage sur la Concorde : « Et moi qui ai
oublié
mon masque à gaz ! C’était pourtant l’heure H ! » 14 mai 1939 L
29
ique, dans sa réalité qui nous met en question, n’
oublions
pas que toute réalité, à toute époque de l’histoire des hommes, est a
30
fantastique. Mais je m’aperçois un peu tard que j’
oubliais
de citer sa devise, inscrite au coin de quelques-uns de ses dessins :
31
s d’autre espoir que son travail. Que les Suisses
oublient
donc leurs divisions partisanes. Venus de tous les points de l’horizo
32
on pas quelques chambres à louer ? Sans eux, l’on
oublierait
la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses, à la piscine, dans
33
ciel, la ville aux sept collines renie la guerre,
oublie
l’Europe. Demain nous embarquons pour l’Amérique. Mais ici je fais le
34
idemment, mon cas se présente mal. J’ai peut-être
oublié
l’essentiel… Il faudrait être fou, je le comprends enfin, pour croire
35
iant. Les unes comme les autres, d’ailleurs, sont
oubliées
l’instant d’après, ou confondues avec n’importe quoi, que n’importe q
36
ciste, nazi ou soviétique. Je crois bien qu’elle
oublie
que les vagues n’ont jamais rien fait avancer, qu’elles se soulèvent
37
’en retire qu’un sérieux mal de mer. Et peut-être
oublie-t
-elle aussi que l’Angleterre rules the waves malgré tout, sauvant ains
38
est seul, Manhattan est sublime. Il n’y a qu’à s’
oublier
dans l’énergie fusante de cette capitale du matin. 28 novembre 194
39
climat normal de l’homme. Ils ont raison, s’ils n’
oublient
pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète, est une excep
40
maison en soi, posée sur les terrasses. 94. Je n’
oublie
pas celui du général de Gaulle à la radio de Londres, le 18 juin 1940
41
ew York et Chicago, Pittsburg sans doute. Qu’on n’
oublie
pas l’esprit qui règne encore sur les forêts et sur les lacs innombra
42
tout, ou presque tout, à part épistémologie, j’ai
oublié
et le mot m’agace… Inanité par contre me plaît beaucoup. Mais il y a
43
es autres en dépendent — il s’agirait de ne pas l’
oublier
à chaque instant. Je n’ai donc pas décrit l’Amérique telle qu’elle es
44
ourrais rester moi aussi, laisser partir l’avion,
oublier
l’autre vie. Rien de plus facile. Rester assis dans la rêverie, repre
45
s a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté
oubliée
. Mais que dire de la foule que j’ai vue le lendemain aux trottoirs de