1
s mettant mes thèses à dure épreuve. Je n’ai rien
oublié
mais j’ai un peu appris, plus en vivant, d’ailleurs, qu’en lisant mes
2
e telle « mystification » que nous ayons vraiment
oublié
ce malheur ? Ou faut-il croire qu’en secret nous préférons ce qui nou
3
ronron de nos morales sont en passe de nous faire
oublier
la sévère réalité. Dresser le mythe de la passion dans sa violence pr
4
nt l’habitude de déplorer sa décadence : mais ils
oublient
que, telle qu’ils la souhaitent, elle vient à peine de naître dans le
5
s si violente, si animale pourrait-on dire, qu’il
oublie
la douleur et le danger dans l’ivresse de son « déduit ». Pourtant, l
6
c’est un obstacle qu’il ne peut plus vaincre ! N’
oublions
pas que la hiérarchie des faits contés traduit exactement la hiérarch
7
ang de doctrine officielle ne doit pas nous faire
oublier
son efficacité proprement sacrilège, antisociale, « dissociatrice ».
8
tre plus au sud, dans le comté de Toulouse. C’est
oublier
que l’hérésie est descendue du nord au sud, par Reims, Orléans, puis
9
ue l’origine de ce lyrisme n’est pas hérétique. N’
oublions
pas qu’ils composaient leurs coblas et leurs sirventés selon les cano
10
utilisons dans nos écrits ?52 Il ne faudrait pas
oublier
ce que l’on vient de dire sur la mentalité « naïvement » symbolique d
11
quelque nature animale que de coutumes totalement
oubliées
, devenues traces ou cicatrices mentales, tout inconscientes et, de ce
12
vieux mystères sacrés des Celtes, plus qu’à demi
oubliés
d’ailleurs par un Béroul ou un Chrétien de Troyes, et quelques élémen
13
s un monde qui avait perdu la foi des druides, et
oublié
le sens de leurs mystères. Dans le cycle des légendes irlandaises, no
14
Rudiments d’une recherche mystique, qui ne laisse
oublier
ni la lyre ni l’épée symbolique du défi à la société constituée ! Est
15
nous l’avons vu — mais déguisée, persécutée, puis
oubliée
. À tel point oubliée comme hérésie, et passée dans les mœurs comme po
16
s déguisée, persécutée, puis oubliée. À tel point
oubliée
comme hérésie, et passée dans les mœurs comme poésie, que les mystiqu
17
trois-cents ans plus tard, ce vêtement dont on a
oublié
qu’il cachait autre chose que la nature — c’est la mystique chrétienn
18
petits qu’elle va cherchant : par ce plaisir elle
oublie
le chasseur, et reste là, et ne poursuit point ; de même celui qui es
19
refuser. » Voici qui est bel et bon. Mais nous n’
oublions
pas que ce refus de la contrainte fatale, cette liberté qui fait le p
20
dre sans cesse aux formes désirables de la terre,
oublier
, plaisanter follement, tout ardents de curiosité ; d’une merveilleuse
21
et son langage n’avait pas d’autre clé. Perdus et
oubliés
cette clé et ce but, la passion dont le besoin revient nous tourmente
22
evise de général, que les Soubise, par malheur, n’
oubliaient
guère que sur le champ de bataille. 8.La guerre révolutionnaire
23
l’instant même qu’il l’enchaîne et la possède. N’
oublions
pas que le terme populaire désignant en Allemagne l’acte d’épouser, c
24
rovinces, jusqu’en plein xviie siècle : on avait
oublié
les mystères originels, mais les rites gardaient pour effet de social
25
tomber sous le coup des objections humaines. Si j’
oublie
cet au-delà du mariage, mais aussi de tout ordre humain, qui s’appell
26
ie montrent bien que l’usage de ces dernières est
oublié
, à l’époque et dans les pays où ils écrivent. Tout cela n’est plus qu
27
à ses devoirs et à la foi promise. Or on n’a pas
oublié
que Tristan épouse la seconde Iseut alors qu’il croit que la première
28
lque chose qui se rapproche du mot « amour », est
oubliée
tout de suite pendant la dynastie Han. Les Chinois sont mariés très j
29
valeries de l’Iran et de l’Europe médiévale, sans
oublier
« certaines doctrines cathares » qui entrent en composition dans ce t
30
ette mouvoir De joie ses ailes à contrejour Qui s’
oublie
et se laisse choir Par la douceur qu’au cœur lui va…228 (Simone Wei