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problème ? Je me propose d’envisager dans cet
ouvrage
le problème de la culture. Lorsque l’on entreprend de lire un livre q
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ation : Henri de Man, dans L’Idée socialiste. Cet
ouvrage
fort compact, indigeste comme la plupart de ceux qui ont exercé une a
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lus loin qu’il n’est utile pour le dessein de cet
ouvrage
. Bornons-nous donc à l’examen d’un signe ou mieux d’un instrument qui
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en allemand courant d’une argumentation, ou d’un
ouvrage
qui se tiennent, qui ont un sens et une raison.
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La presse, la radio, l’éloquence politique et les
ouvrages
populaires à grand tirage, voilà tout un domaine que l’écrivain digne
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t ses voisins réels. Il a paru en France nombre d’
ouvrages
excellents sur l’œuvre culturelle des Russes. Beaucoup de ces Russes
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ssaierai de décrire dans la seconde partie de cet
ouvrage
.) Moralisme : La morale est identiquement soumise dans les deux ca
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le seul qui intéresse directement l’objet de cet
ouvrage
: les dictatures totalitaires ont échoué jusqu’ici dans leur essai de
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Préambule L’objet de la seconde partie de cet
ouvrage
risquerait d’être mal compris, si je n’écartais dès l’abord deux male
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n la néglige aujourd’hui. Toute l’ambition de cet
ouvrage
n’est-elle pas justement de confondre, ou tout au moins de marquer un
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res » y portent la main, le clerc jugera de leurs
ouvrages
. Le voici portant sa balance : la pensée est pondération ; à la rigue
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lle. Lorsqu’un clerc enfin louera le sérieux d’un
ouvrage
, nous saurons qu’il s’agit d’un ouvrage dont la composition révèle un
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ieux d’un ouvrage, nous saurons qu’il s’agit d’un
ouvrage
dont la composition révèle un emploi maximum des instruments de trava
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ne sur l’introduction du bridge en Argentine (cet
ouvrage
a été fait) si l’on sait utiliser la méthode définie par l’école hist
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chéen — qu’un critique devrait retrouver dans tel
ouvrage
qui s’ordonnerait à la mesure que nous cherchons. Première vertu :
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d’un cintre, de labourer la terre ou d’écrire un
ouvrage
dont la nécessité n’est sentie tout d’abord que par l’auteur qui l’im
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estion outrepasse sans nul doute les limites d’un
ouvrage
profane. D’autre part, il n’est pas mauvais d’éprouver parfois ces li
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ngt et trente ans. Rien d’étonnant si, relisant l’
ouvrage
dix ans plus tard, à mon retour d’Amérique je me suis étonné d’y retr
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e mot de révolution, qui revient partout dans mon
ouvrage
. Je ne vois pas une seule révolution, dans le monde moderne, qui ait