1 nces générales, puis d’une compagnie d’assurances ouvrières . Le travail manuel l’attirait ; il s’essaya dans un atelier de menuis

2 rt de M. Turc. Elles ont un peu de peine avec les ouvriers . Il paraît qu’on en trouve de moins en moins. — « Mais, lui dis-je, e

3 sieur, c’est un principe. Nous ne voulons que des ouvriers honnêtes. Pensez donc, deux femmes seules ! — C’est que je suis chôme

4 u travail cinq jours par semaine à une centaine d’ ouvrières , dont le salaire moyen est de 7 francs par jour. Faillite de la derni

5 aisonnable, c’est-à-dire truquée, avec tel ou tel ouvrier . On pensera que de tout temps la traduction du langage surveillé des

6 ous cas —, ce sont de petits propriétaires ou des ouvriers travaillant à leur compte. — En somme, vous vous entendez bien avec e

7 Si l’on prend au sérieux le sort qui est fait aux ouvriers — ce n’est pas le cas des intellectuels qui « adhèrent » aux discipli

8 re dans les campagnes : nomadisme des employés et ouvriers , impossibilité de « suivre » un effort bien localisé, de s’attacher à

9 ullement de faire des affaires. Ni d’opprimer les ouvriers . Ni d’appeler justice, au besoin, ce qui était utile aux maîtres. La