1 en une phrase typique : « La grande majorité des ouvriers parle de Jésus-Christ et de l’Église comme de deux choses qui n’ont r

2 jeune homme de tout à l’heure. Mais ici c’est un ouvrier qui parle. D’avoir travaillé chez Ford ne donne pas forcément plus de

3 entre des jeunes bourgeois, des jeunes paysans et ouvriers plus ou moins « déclassés » comme le sont aujourd’hui presque tous ce

4 ce d’assimilation et de création, le génie de ses ouvriers , de ses artisans, de ses artistes, de ses « découvreurs », et confron

5 xer et à l’étendre. Mais il demeure certain que l’ ouvrier et l’artisan, le paysan et le boutiquier ont une tendance naturelle à

6 couter aussi la foule. Je me trouvais au milieu d’ ouvriers , de jeunes miliciens du Service de travail, de jeunes filles, de femm

7 ité générale, la productivité accrue ; et que les ouvriers se mettent à lire leurs livres, et viennent acclamer leurs discours,

8 e production automatique du triomphe de la classe ouvrière . La phrase de de Man que nous citions plus haut donne la formule de c

9 reforme bientôt une nouvelle sorte de bourgeoisie ouvrière satisfaite…, trop comparable à la petite bourgeoisie de chez nous. J’

10 fameux corps francs qui réduisirent les révoltes ouvrières et séparatistes, — et Noske, commissaire du peuple devenu ministre de

11 ofonds qui m’unissent à ce peuple de paysans et d’ ouvriers , si délibérément superstitieux dans leur conduite et dans leurs opini

12 losophes, paysans, cercles d’hommes, groupant des ouvriers et des bourgeois… J’ai parlé en plein air, dans de grandes salles pub

13 e une littérature romanesque. Quant au thème de l’ ouvrier ou du chauffeur qui « mérite » la fille du patron, il est abondamment

14 nt le « foyer domestique » d’un bourgeois ou d’un ouvrier  : la censure pour un coup trouverait à se justifier. Oui, les romanti