1 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
1 e ce que toutes les réformes soient en faveur des ouvriers et des paysans ; et que les impôts prennent les proportions d’une con
2 r d’entreprise » n’a pas le droit de renvoyer ses ouvriers , mais ceux-ci n’ont pas le droit de se mettre en grève. La paix socia
3 chambres confortables. J’avais pour compagnon un ouvrier de mon usine. On apprend à se connaître en partageant la même chambre
4 il est retourné à l’école ; et tout délivré : ces ouvriers sont au fond des braves types, on peut leur parler sans relever le me
5 e bagarrer encore ? Ils ne sont pas comme ça, les ouvriers allemands. « Vous autres Français, me dit-il, vous ne rêvez que révol
6 tre, ça suffira. La politique n’intéresse pas les ouvriers quand ils ont de quoi manger et travailler. Hitler ? Il n’a qu’à appl
7 ar l’écrasement des faibles ? Que l’unanimité des ouvriers résulte de la mise au pas des syndicats ? Que tout cela n’est devenu
8 toutes les résistances ont cédé. L’internationale ouvrière s’est effondrée sans faire usage de ses armes. Le capital est en bonn