1 u’il s’abaisse au niveau des hommes concrets, des ouvriers au sens premier du mot : ceux qui ont prise sur les choses et qui « é

2 d’abord au pastel. Or la différence entre la main ouvrière et la main non ouvrière a depuis toujours été un des symboles les plu

3 différence entre la main ouvrière et la main non ouvrière a depuis toujours été un des symboles les plus usités de la distincti

4 a bourgeoisie reproche depuis le xixe siècle aux ouvriers socialistes comme un manque de goût démagogique, n’est vraiment pas u

5 e l’union du travail et de la culture, de la main ouvrière et de la pensée. Elle garde la culture et rabaisse le travail. Ce fai

6 commune aux uns et aux autres, aux patrons et aux ouvriers  ? L’examen des triomphes ultérieurs, beaucoup plus complets et durabl

7 a raison cesse d’être l’outil manié par des mains ouvrières au service d’une passion aventureuse, comme c’était le cas chez Desca

8 ité générale, la productivité accrue ; et que les ouvriers se mettent à lire leurs livres, et viennent acclamer leurs discours,

9 e production automatique du triomphe de la classe ouvrière . La phrase de de Man que nous citions plus haut donne la formule de c

10 ctuels et manuels. On ouvrira les universités aux ouvriers en URSS, et les camps de travail aux étudiants en Allemagne. Cet effo

11  : oui, mais les États totalitaires procurent aux ouvriers des voyages gratuits en Méditerranée, assurent l’ordre dans la rue, l

12 nsée créatrice dans nos vies, celle qui demeure l’ ouvrière efficace et méconnue d’un siècle collectif. Est-ce à dire qu’une tell

13 tobus, labourer une planche, licencier cinq-cents ouvriers , voter, aller à la messe, ratifier un traité, renverser un ministère,