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er » tout machinal (le Heil Hitler déjà rodé) des
ouvriers
entrant dans la buvette qui m’a frappé (huit mois à peine qu’ils sont
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e ce que toutes les réformes soient en faveur des
ouvriers
et des paysans ; et que les impôts prennent les proportions d’une con
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r d’entreprise » n’a pas le droit de renvoyer ses
ouvriers
, mais ceux-ci n’ont pas le droit de se mettre en grève. La paix socia
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chambres confortables. J’avais pour compagnon un
ouvrier
de mon usine. On apprend à se connaître en partageant la même chambre
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il est retourné à l’école ; et tout délivré : ces
ouvriers
sont au fond des braves types, on peut leur parler sans relever le me
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ité) planait à une hauteur infinie au-dessus de l’
ouvrier
d’usine, et où n’importe quelle ridicule tête vide toisait avec mépri
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détruit les classes et les castes. Il a libéré l’
ouvrier
de la folle illusion de la classe, corps étranger dans la nation. Et
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e bagarrer encore ? Ils ne sont pas comme ça, les
ouvriers
allemands. « Vous autres Français, me dit-il, vous ne rêvez que révol
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tre, ça suffira. La politique n’intéresse pas les
ouvriers
quand ils ont de quoi manger et travailler. Hitler ? Il n’a qu’à appl
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ysique qui tranche sur celui des bourgeois et des
ouvriers
: plus dur, sportif, le regard froid et « objectif », teint pâle, lun
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uple est favorable au régime. Les employés et les
ouvriers
y trouvent mille occasions de s’élever. Voyez notre Gauleiter 13 : un
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’écouter aussi la foule. Je me trouve au milieu d’
ouvriers
, de jeunes miliciens du Service de travail, de jeunes filles, de femm
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iel rouge. Au-dessous, une vingtaine de visages d’
ouvriers
, éclatants de santé et de joie. Au milieu, cette devise : Honneur,
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vacances universitaires, il travaille donc comme
ouvrier
d’équipe à la gare de Münster, puis comme comptable. Finalement on le