1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 pastoral des évangiles et la vie quotidienne d’un ouvrier d’usine, il n’y avait pas l’une des raisons du décalage plus général
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
2 o faber désigne une grande partie de l’humanité : ouvriers , artistes, savants, législateurs et artisans. Demandons-nous quelle d
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
3 ullement de faire des affaires. Ni d’opprimer les ouvriers . Ni d’appeler justice, au besoin, ce qui était utile aux maîtres. La
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
4 rs la fin de ce siècle, de réduire le travail des ouvriers à quelques dizaines d’heures par an, pour une production décuplée. La
5 culturel de Bâle, et au piétisme, des milliers d’ ouvriers et d’ingénieurs gagnent leur vie, des paquebots traversent l’Océan, d
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
6 dans l’ordre économique la vitalité des syndicats ouvriers et patronaux, et la substitution au régime capitaliste (centralisateu
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
7 e soulèvement des écrivains unis aux paysans, des ouvriers unis aux étudiants. L’intelligentsia de l’Ouest voyait venir Quatre-v
8 s, dont le travail l’enrichissait. Aujourd’hui, l’ ouvrier d’usine bénéficie des soins jaloux de l’État. Encore un peu, et la te
9 restaurer des dogmes à coups de mensonges. Si les ouvriers de Czepel ne sont pas des « fascistes importés », la dialectique n’es
10 l’avenir ». L’URSS était le paradis de la classe ouvrière , les USA le dernier bastion du capitalisme exploiteur, promis aux cri
11 ressistes ». Voyons les faits. Nul n’ignore que l’ ouvrier américain est le plus riche du monde, l’ouvrier soviétique l’un des p
12 l’ouvrier américain est le plus riche du monde, l’ ouvrier soviétique l’un des plus pauvres. Cet argument concret n’inquiète pas
13 vage et la loi d’airain à l’Est, et qu’une classe ouvrière mieux informée qu’endoctrinée, si elle a à choisir d’émigrer, choisir
14 masse l’Amérique. Comme l’ont fait la plupart des ouvriers hongrois réfugiés en Autriche et libres de parler. Il n’en reste pas
15 is de ce siècle, ni leurs penseurs, mais bien les ouvriers du xixe et les travailleurs à la chaîne dans les usines américaines.
16 être cherché dans l’automatisme total, libérant l’ ouvrier non seulement de ses efforts sur la matière trop lourde ou dangereuse
17 e subissaient pas, peut dès maintenant délivrer l’ ouvrier des servitudes mécaniques. Mais ses effets médiats seront plus étendu
18 ls sont littéralement incalculables. L’usine sans ouvriers , produisant jour et nuit sous la seule surveillance d’un groupe d’opé
19 alectique de la révolution donnant le pouvoir aux ouvriers d’usine. C’est ainsi le développement plus poussé de la technique, no
20 ’action du parti communiste, ni même de la classe ouvrière , qui sera l’agent du dépassement concret des conflits institués par l