1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
1 des classes, des régions, de la paysannerie, des ouvriers et des bourgeois. « Ce qu’il y a d’intéressant à noter, écrit encore
2 oppement traditionnel d’une vie corporative : tel ouvrier raisonnera non pas exclusivement en ouvrier, mais en membre de la com
3 : tel ouvrier raisonnera non pas exclusivement en ouvrier , mais en membre de la commune religieuse, ou de la commune « bourgeoi
4 s des Italiens. Un paysan yodleur d’Appenzell, un ouvrier socialiste de Berne et un banquier anglomane de Genève, s’ils se renc
5 aliste est fort dans les cantons où les syndicats ouvriers ont leurs plus gros effectifs, même s’il n’est guère possible de déci
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
6 e à l’étranger environ 3,5 millions d’employés et ouvriers , et fait vivre une population supérieure à celle de la Confédération.
7 d’une famille suisse moyenne (quatre personnes) d’ ouvriers ou d’employés permet à cet égard des recoupements intéressants :
8 tion dans le budget a décru d’un cinquième pour l’ ouvrier depuis 1920, tandis que la part des assurances a quadruplé. On pourra
9 rt des grands pays. Certes, à la ressemblance des ouvriers américains, les ouvriers suisses ont une conception de la vie très vo
10 s, à la ressemblance des ouvriers américains, les ouvriers suisses ont une conception de la vie très voisine de celle des patron
11 rgétique du pays. 74. En 1960, sur un effectif d’ ouvriers et d’employés d’environ 1 600 000, on comptait au total plus de 800 0
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
12 eux sociaux de la petite à la grande bourgeoisie ( ouvriers et paysans non pas exclus mais rares). Aucune des sept universités ne