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des classes, des régions, de la paysannerie, des
ouvriers
et des bourgeois. « Ce qu’il y a d’intéressant à noter, écrit encore
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oppement traditionnel d’une vie corporative : tel
ouvrier
raisonnera non pas exclusivement en ouvrier, mais en membre de la com
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: tel ouvrier raisonnera non pas exclusivement en
ouvrier
, mais en membre de la commune religieuse, ou de la commune « bourgeoi
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s des Italiens. Un paysan yodleur d’Appenzell, un
ouvrier
socialiste de Berne et un banquier anglomane de Genève, s’ils se renc
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aliste est fort dans les cantons où les syndicats
ouvriers
ont leurs plus gros effectifs, même s’il n’est guère possible de déci
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e à l’étranger environ 3,5 millions d’employés et
ouvriers
, et fait vivre une population supérieure à celle de la Confédération.
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d’une famille suisse moyenne (quatre personnes) d’
ouvriers
ou d’employés permet à cet égard des recoupements intéressants :
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tion dans le budget a décru d’un cinquième pour l’
ouvrier
depuis 1920, tandis que la part des assurances a quadruplé. On pourra
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rt des grands pays. Certes, à la ressemblance des
ouvriers
américains, les ouvriers suisses ont une conception de la vie très vo
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s, à la ressemblance des ouvriers américains, les
ouvriers
suisses ont une conception de la vie très voisine de celle des patron
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rgétique du pays. 74. En 1960, sur un effectif d’
ouvriers
et d’employés d’environ 1 600 000, on comptait au total plus de 800 0
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eux sociaux de la petite à la grande bourgeoisie (
ouvriers
et paysans non pas exclus mais rares). Aucune des sept universités ne