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et devant ses sept héritiers naturels, un notaire
ouvre
et lit le testament. La dernière clause se trouve ainsi conçue : « T
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dans une intention plus sérieuse. » L’inspecteur
ouvre
de gros yeux fixes, où rien ne vient. Le jeune prédicateur Flachs, lu
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e l’acceptez pas. À vous de faire le premier pas.
Ouvrez
vos frontières. Vous pouvez venir chez nous. Vous refusez ? Nous ne d
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Nous pensons, comme toujours, à conserver5, eux à
ouvrir
. Le divorce est pour nous l’enterrement d’un bonheur, pour eux l’acte
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affaire, mais je sentais qu’il fallait rentrer. J’
ouvre
ma porte et j’entends le téléphone. C’est un ami qui va quitter l’Off
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e sont deux églises de confessions voisines qui s’
ouvrent
l’une à l’autre, et là c’est un groupe de petits pays qui forment une
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n ordre neuf… Où irons-nous ? Seul le fédéralisme
ouvre
des voies nouvelles. Seul il peut surmonter — voyez la Suisse — les v
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e début qui clôt une vie, cette conclusion qui en
ouvre
une autre, tandis qu’entre les deux s’opère en un clin d’œil la silen
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rai : fédéralistes. Ici, Mesdames et Messieurs, s’
ouvre
béante devant moi, la tentation de me lancer dans une série de défini
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n la riche diversité des groupes, il est prêt à s’
ouvrir
à des unions plus vastes. Il les appelle, il les espère, il fait tout
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r, nous tous, c’est que les nations européennes s’
ouvrent
d’abord les unes aux autres, suppriment sur tous les plans frontières
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rétions, multiplie les moyens de communication, s’
ouvre
enfin plus qu’aucun pays à toutes les influences du monde, et sait tr
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us existons d’abord. Le seul choix qui nous reste
ouvert
, c’est donc celui de l’Europe elle-même. La seule manière possible de
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ui va plus loin. Ce n’est pas une erreur qui doit
ouvrir
la voie. Mais essayons de ramener l’attention sur cet obstacle tant d