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qui ne procure pas une connaissance suffisante, n’
ouvre
pas une voie vérifiable et qu’on puisse librement parcourir ; mais pa
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aleur des conventions ; mais n’est-ce pas lui qui
ouvrit
, en 1919, le grand courant du pessimisme européen, par cette lettre f
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dhon, qui fut quarante-huitard : « Le xxe siècle
ouvrira
l’ère des fédérations, ou l’humanité recommencera un purgatoire de mi
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chnologique ? C’est le problème des loisirs qui s’
ouvre
largement, et tous les problèmes qui en dépendent pour l’éducation de
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ler. Je n’étais pas venu pour conclure, mais pour
ouvrir
des portes. d. « La fin du pessimisme », Réalités, Paris, n° 137, j
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mai 1948). Dès février 1949, un Bureau d’études s’
ouvrait
à Genève, chargé d’élaborer le travail de l’institution projetée, et
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nglicans, luthériens de Suède et d’Amérique — ils
ouvrent
la voie de l’union. Le renouveau des études liturgiques dans les Égli
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ons sur des exclamations lyriques comme celle qui
ouvre
son poème « Germania » : « Oui ! le monde entier sera un jour alleman
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sifs, s’arrêtant au sommet d’un seul coup, — et s’
ouvre
à l’autre bout dans l’espace doré d’un ciel méridional que double un