1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 sorte que cette enquête rejoint parfois celle qu’ ouvrit la Revue de Genève sur « l’Avenir de l’Europe. » (Cf. les deux répo
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 ies d’un divan le soir, tandis que les fenêtres s’ ouvraient vers le ciel de Florence… « Du sang, de la volupté et de la mort », u
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
3 ux sceptiques. Il a aimé la science parce qu’elle ouvre des perspectives d’évasion — où seuls les poètes savent se perdre. Et
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
4 ur, de rêves, de visages, tandis que ç[à] et là s’ ouvrent des perspectives saisissantes sur l’époque. Anderson est avant tout u
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas des nonn
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
6 encore un rêve ? Je comprends bien qu’il faudrait ouvrir ces valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’œil du douanier conseille d