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ustrations de F.-L. Schmied pour « Ruth et Booz »
ouvrent
des perspectives pour de futures éditions d’art protestantes. La scul
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i-même avait exprimé le souhait formel que l’on n’
ouvrît
pas par ce roman la série de traductions de ses livres. Mais ce Journ
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psychologie et des ruses de l’art, sans que ne s’
ouvre
jamais une perspective poétique ou métaphysique. À cette heure où le
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du recueillement et de l’adoration lui demeurait
ouvert
, les secrets de la vie intime n’étaient pas révélés parce qu’on les c
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idélité. Certes, l’exemple de la phénoménologie a
ouvert
la voie à une nouvelle liberté de la pensée ; mais, jusqu’ici, peu l’
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à leur espoir de bien plus formidables chiffres.
Ouvrez
le dernier livre de M. Guéhenno67, vous y trouverez cette confession