1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 s, tout serait à chaque instant libre et allègre, ouvert sur la seule grande Attente… À l’œuvre donc, advienne que pourra ! Qu
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 ement dont on se préserve comme sans y penser. On ouvre un parapluie, on passe un imperméable, on s’isole avec soin, avec déd
3 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
3 petit jeu des douanes recommence. À midi, on nous ouvre enfin une sorte de buffet de gare, et nous nous ruons aveuglément sur
4 r ! And good luck to you ! C’est fini. Le monde s’ ouvre et s’éclaire comme au sortir d’un cauchemar. Mais c’est aussi comme u
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 moutonnent à la hauteur des toits, et la rivière ouvre l’espace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil. À New
6 e l’irréparable. À moins qu’un seul, ici ou là, n’ ouvre les yeux, d’entre les morts-vivants. 26 décembre 1940 Un vrai
7 de la même façon dans les deux cas. L’ascenseur s’ ouvre sur un hall meublé de grands fauteuils et de tables tubulaires. Vous
5 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
8 était le printemps, San Isidro, la roseraie qui s’ ouvre au pied des barrancas sur le Rio calme et violet… Minuit. Les machine
9 valise scellée. Personne n’avait eu le temps de l’ ouvrir . Je suis sans doute le premier écrivain que la police ait jamais inqu
6 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
10 de plus, la vie qui change, un autre avenir qui s’ ouvre et qui bée sur la nuit. Je connais la cérémonie. Mes amis s’étonnaie
11 tous ceux pour lesquels ce coup de gong du destin ouvre le champ d’une course nouvelle, rend une espèce de liberté qu’ils ne
12 affaire, mais je sentais qu’il fallait rentrer. J’ ouvre ma porte et j’entends le téléphone. C’est un ami qui va quitter l’Off
7 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
13 chambre. Ils découvrent bientôt les tiroirs, les ouvrent et dévorent les bananes. On répète le manège un grand nombre de fois,
14 au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ ouvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me prom
15 eurs lampes. Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fait trop
16 ine. Un autre jour, le même amour, mais le cœur s’ ouvre — l’aube est l’heure du pardon délivrant — et je me donne au jour amé
8 1946, Journal des deux mondes. Virginie
17 herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en demi-cercle
18 erme. C’est le chenil. Le parc s’arrête ici, et s’ ouvrent les espaces de pâturages nus, en pente douce. Très loin, en silhouett
9 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
19 s’écroulait. Ma faillite a passé inaperçue. J’ai ouvert cette agence que vous venez de voir, et je n’ai plus piloté depuis lo
20 et des tourbillons fous de papiers sales, pour s’ ouvrir enfin toute béante sur les fumées de l’East River, au terme d’un parc
21 a bombe atomique pour les enfants ? » La vendeuse ouvrit la bouche, puis ses yeux s’écarquillèrent largement : devant nous ven
22 vion de 1000 dollars. Déjà les banques de Buffalo ouvrent des guichets extérieurs où l’on peut déposer de l’argent sans descend
10 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
23 efuse tout le reste, et la comparaison. Il faut s’ ouvrir . Il faut aimer. Il faut cesser de trouver cela nigaud, et de faire le
24 rai, s’il n’est pas le masque d’une haine, s’il m’ ouvre à l’Être au lieu de me refermer sur quelque obsession de l’Avoir, cha
25 elles de bois. Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté du portail d’un ministère. Un vieux monsi