1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 , du rêve américain. Voici donc un nationalisme «  ouvert  » et pour qui la nation est en avant, dans un élan, un rêve, une libe
2 planétaire dans la même liberté. Ils ont envie d’ ouvrir le monde à leur jeunesse, non pas de refermer sur lui leurs serres. I
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
3 nt de moyen terme, le saut est brusque, l’abîme s’ ouvre béant. Car on passe de 3000 lecteurs à 300 000, c’est-à-dire qu’on pa
4 orité des protestants. Et ces réunions préalables ouvrent des voies jadis insoupçonnées : Presbytériens et Anglicans étudient d
5 lptures précieuses. Sur les pages d’un gros livre ouvert dans le vestibule, je lis les signatures de visiteurs de toutes confe
6 us les bons observateurs européens de l’Amérique. Ouvrez le New York Times : vous y trouverez, le samedi, deux grandes pages c
7 ille, en langue hollandaise, qu’il avait choisi d’ ouvrir au chapitre 13 de la première Épître aux Corinthiens : « Et maintenan
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
8 Nous pensons, comme toujours, à conserver4, eux à ouvrir . Le divorce est pour nous l’enterrement d’un bonheur, pour eux l’acte
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 oir bien compris votre nom, plus soucieux de vous ouvrir un crédit d’amitié que de prendre ses précautions. Il voit un signe d
10 rer une invisible fermeture éclair. L’Américain s’ ouvre , au contraire, comme sa bouche sur des dents éclatantes, et comme s’i
11 ent leurs enfants, ou non La journée d’école s’ ouvre par une cérémonie patriotique et religieuse. Un des enfants préside,
12 nir dans une routine protectrice. La femme voit s’ ouvrir devant elle une liberté qui l’étourdit, et tout est disposé pour qu’e
13 a vie humaine en gros et en détail, de ce refus d’ ouvrir leurs frontières, de l’esclavage où ils tiennent leur presse, et de l
14 r. Quant à l’autre moitié, elle ne demande qu’à s’ ouvrir à l’amitié de ce grand peuple des plaines qui se met à nous ressemble