1 Proudhon surtout, qui écrivait : « Le xxe siècle ouvrira l’ère des fédérations, ou l’humanité recommencera un purgatoire de mi

2 Salle des chevaliers du Parlement néerlandais, s’ ouvrait le Congrès de l’Europe. Nous étions cette fois-ci plus de huit-cents

3 ambitions du Centre européen de la culture qui s’ ouvrira bientôt en Suisse. ⁂ Il n’est point d’ordre économique possible sans

4 s. Au mois de février 1949, le Mouvement européen ouvrait à Genève un Bureau d’études, chargé de préparer l’œuvre du Centre, et

5 atique, et il n’est pas non plus rigide. Il reste ouvert à l’événement. J’oserais dire qu’à certains égards, il est moins déci

6 utes les tyrannies du xxe siècle. Il convenait d’ ouvrir nos manifestations par cet acte de piété, par ce Magnificat à la mémo

7 Montreux ne devint pas un « fait ». En mai 1948 s’ ouvre à La Haye le premier Congrès de l’Europe. Seize Premiers ministres, d

8 et Gaillard qui aurait répondu : 350 seulement. J’ ouvre une autre publication, dans laquelle M. Pierre André conteste l’exact

9 tout ce n’est pas lui qui l’inventa. Qui donc ? J’ ouvris une encyclopédie, et trouvai ceci : Il y avait au xviiie siècle un t

10 omaines envisagés et des perspectives qu’ils nous ouvrent . Après quoi, d’autres comités, composé d’organisateurs, de financiers

11 contre une erreur menaçante : le dialogue doit s’ ouvrir entre les grands ensembles, c’est entendu, mais ceux-ci ne sauraient

12 voudrait faire partager son amour, donc celui qui ouvre les portes ; tandis que le spécialiste est plutôt celui qui cherche à

13 tre en question. Mon premier livre paru à Paris s’ ouvrait par un chapitre sur « l’engagement du clerc », sa nécessité et sa van