1
it sur les marais. « Le Peuple », me disais-je en
pédalant
, ce qu’ils appellent le Peuple !… je revoyais cette centaine d’hommes
2
e sent réfléchir avec une énergie particulière en
pédalant
contre le vent dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien
3
tait sur les marais. « Le peuple, me disais-je en
pédalant
, ce qu’ils appellent le peuple… » ; je revoyais cette centaine d’homm
4
e sent réfléchir avec une énergie particulière en
pédalant
contre le vent dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien
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it sur les marais. « Le Peuple », me disais-je en
pédalant
, ce qu’ils appellent le Peuple !… je revoyais cette centaine d’hommes
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e sent réfléchir avec une énergie particulière en
pédalant
contre le vent dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien