1
tallurgie, de 100 en 1914 à 159 en 1925 ; pour le
pétrole
, de 100 à 183 ; enfin pour le caoutchouc, de 100 à 311. D’un tel fait
2
tallurgie, de 100 en 1914 à 159 en 1925 ; pour le
pétrole
, de 100 à 183 ; enfin pour le caoutchouc, de 100 à 311. D’un tel fait
3
tallurgie, de 100 en 1914 à 159 en 1925 ; pour le
pétrole
, de 100 à 183 ; enfin pour le caoutchouc, de 100 à 311. D’un tel fai
4
le bois de chauffage du continent). Éclairage au
pétrole
, 30 francs. Bons de la « Société coopérative de panification », 40 fr
5
allumer et à entretenir, et d’un réchaud à gaz de
pétrole
sujet à des pannes mystérieuses, qui nous menace sans cesse d’explosi
6
e maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de
pétrole
, et il était trop tard pour aller en acheter. Silence, froid, solitud
7
au lieu de pompe commune, électricité au lieu de
pétrole
, etc.), toutes ces améliorations et mille autres semblables…, représe
8
ue a plus de « valeur culturelle » que la lampe à
pétrole
; et l’eau courante que la pompe ; — et Babbitt que D. H. Lawrence. T
9
u’un bourgeois, avec ma pompe à eau et ma lampe à
pétrole
. 21 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un journal socia
10
pas illettré ; mais je me demande si le trust des
pétroles
, qui mène la lutte contre la Russie rouge dans toute la presse qu’il
11
l et la boulimie. Ce sont les blés moraves et les
pétroles
roumains, réserves de guerre. Ce qui est vital, c’est donc tout simpl
12
nomique de la répartition des matières premières (
pétrole
, acier, blé, colonies, etc.). La solution pacifique de ces questions
13
papier blanc, où j’écris à la lueur d’une lampe à
pétrole
. Pourquoi sommes-nous là, quelque part, loin de tout ce qui faisait
14
es avions, le second les troupes, le troisième le
pétrole
. Pour les passions, on s’en remettait à la naïveté héroïque des reque
15
le bois de chauffage du continent). Éclairage au
pétrole
, 30 francs. Bons de la « Société coopérative de panification », 40 fr
16
allumer et à entretenir, et d’un réchaud à gaz de
pétrole
sujet à des pannes mystérieuses, qui nous menace sans cesse d’explosi
17
e maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de
pétrole
, et il était trop tard pour aller en acheter. Silence, froid, solitud
18
au lieu de pompe commune, électricité au lieu de
pétrole
, etc.), toutes ces améliorations et mille autres semblables…, représe
19
ue a plus de « valeur culturelle » que la lampe à
pétrole
; et l’eau courante que la pompe ; — et Babbitt que D. H. Lawrence. —
20
u’un bourgeois, avec ma pompe à eau et ma lampe à
pétrole
. 21 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un journal socia
21
l et la boulimie. Ce sont les blés moraves et les
pétroles
roumains, réserves de guerre. Ce qui est vital, c’est donc tout simpl
22
papier blanc, où j’écris à la lueur d’une lampe à
pétrole
. Pourquoi sommes-nous là, quelque part, loin de tout ce qui faisait n
23
es avions, le second les troupes, le troisième le
pétrole
. Pour les passions, on s’en remettait à la naïveté héroïque des reque
24
’existence. Hitler battu, son corps brûlé dans le
pétrole
, que reste-t-il ? À peu près tout cela — moins Hitler. Mais tout cela
25
’existence. Hitler battu, son corps brûlé dans le
pétrole
, que reste-t-il ? À peu près tout cela — moins Hitler. Mais tout cela
26
éma, la vaccination, la pénicilline et le DDT, le
pétrole
synthétique, les plastics et le radar, la rationalisation du travail
27
radio et le cinéma, la pénicilline et le DDT, le
pétrole
synthétique et le radar, la rationalisation du travail industriel, la
28
radio et le cinéma, la pénicilline et le DDT, le
pétrole
synthétique et le radar, la rationalisation du travail industriel, la
29
éma, la vaccination, la pénicilline et le DDT, le
pétrole
synthétique et le radar, la rationalisation du travail industriel, la
30
e l’ère qu’on peut appeler celle du charbon et du
pétrole
, matières promises à l’épuisement dans un avenir plus ou moins proche
31
est improductif, les matières premières (charbon,
pétrole
, fer, métaux précieux) lui font presque totalement défaut, son marché
32
e et menace les approvisionnements de l’Europe en
pétrole
. (Fermeture du canal de Suez en 1956.) L’Europe se trouve ainsi appau
33
sous la dépendance, notamment au point de vue du
pétrole
, du Moyen-Orient et des Amériques. Il y a les transformations techniq
34
isation du rayonnement solaire, en passant par le
pétrole
et l’électricité, que celle-ci soit produite par le charbon ou l’eau,
35
cet écart, par des importations de charbon ou de
pétrole
, l’Europe devrait alors dépenser, aux prix actuels, environ 5 milliar
36
qui est grave, mais il y a pire. Les réserves en
pétrole
et charbon, corps qui produisent actuellement 68 % de l’énergie mondi
37
les distraire. Au Mexique : nationalisation du
pétrole
Quelques mois plus tard, nous retrouvons Retinger au Mexique, enga
38
ultérieurement à la nationalisation des puits de
pétrole
exploités jusqu’alors par les Américains. De 1919 à 1936, Retinger n’
39
s matières… » L’histoire de la nationalisation du
pétrole
est trop complexe en soi — et les notes de notre ami sur ce sujet tro
40
angères, américaines surtout, possédaient 90 % du
pétrole
mexicain. Elles entretenaient parfois des armées de mercenaires indig
41
miner les influences étrangères : nationaliser le
pétrole
. Il se reconnaît donc « partiellement responsable » de l’idée, tout e
42
du sol africain et du sol asiatique : or, métaux,
pétrole
, caoutchouc (le paysan serait-il la création de sa terre et des riche
43
du sol africain et du sol asiatique : or, métaux,
pétrole
, caoutchouc. (Le paysan serait-il la création de sa terre et des rich
44
charbon, fer et autres minerais, métaux précieux,
pétrole
, font totalement défaut. Le sol ne peut produire qu’environ la moitié
45
la terre : l’or, les diamants, le caoutchouc, le
pétrole
… Donc, à la base de tout ce développement une éthique du travail, qua
46
ustrie6 : 33 % du marché de l’automobile, 40 % du
pétrole
en Grande-Bretagne et en Allemagne, 75 % des machines électriques, et
47
Londres en 1943 ; au Mexique, nationalisation des
pétroles
; fondation des syndicats en Amérique latine ; prisons aux USA ; puis
48
le cinéma ; la vaccination et la pénicilline ; le
pétrole
synthétique et le radar ; le syndicalisme et les coopératives ; la co
49
a ; la vaccination, la pénicilline et le DDT ; le
pétrole
synthétique et le radar ; la rationalisation du travail industriel, l
50
rtains calculent déjà l’épuisement du charbon, du
pétrole
et, pire, l’épuisement de l’eau potable et de l’oxygène. Cette crise
51
ment non seulement de l’espace habitable, mais du
pétrole
existant, des forêts, de l’uranium, de l’air et de l’eau sur la Terre
52
tion maximale des ressources naturelles (comme le
pétrole
), donc à la pollution ; et finalement le seul facteur qu’elle fasse d
53
je ne « vis le jour » qu’à la lueur d’une lampe à
pétrole
hâtivement allumée et que tenait mon père. Soixante-sept ans plus tar
54
les réserves existantes ou encore à découvrir de
pétrole
seront épuisées d’ici soixante-dix ans, ou d’ici trente ans, voire d’
55
la British Petroleum annonce que la production du
pétrole
commencera à diminuer dans dix ans, et que des mesures de rationnemen
56
nt, dans ces conditions, arrêter une politique du
pétrole
? ou du cuivre ? Ce n’est pas tout. Une troisième sorte de prévision
57
rces terrestres c’est-à-dire de l’eau potable, du
pétrole
, des métaux non ferreux sans lesquels le fer ne pourra plus devenir a
58
par l’auto. Comme elle ne marche pas encore sans
pétrole
, et que le pétrole consommé par l’Europe est détenu à 80 % par les pa
59
elle ne marche pas encore sans pétrole, et que le
pétrole
consommé par l’Europe est détenu à 80 % par les pays arabes, voilà la
60
to, qui est elle-même suspendue aux ressources de
pétrole
, qui dépendent de la politique des Arabes, laquelle est déterminée pa
61
et de nos dernières forêts, tant qu’il y aura du
pétrole
dans les moteurs. Et puis quand nous en aurons assez de respirer ou d
62
l’ont cru naïvement jusqu’à nous : le charbon, le
pétrole
et les métaux non ferreux s’épuisent d’une manière calculable. Selon
63
écouvre dans les déserts et les mers le double du
pétrole
qu’on exploite aujourd’hui, avec l’augmentation de la population et d
64
n de la population et de la consommation, tout le
pétrole
de la terre semble devoir être brûlé d’ici trente ans selon les uns,
65
seulement, en 1972. Il faut donc toujours plus de
pétrole
, toujours plus cher, qui enrichit toujours plus les États (par le fis
66
s que chacun sait aujourd’hui qu’il n’y a plus de
pétrole
que pour trente ans, donc que d’ici trente ans il n’y aura plus d’aut
67
imites à la croissance » ; il a fallu la crise du
pétrole
et ses suites ; mais surtout, il a fallu la montée de l’idée régional
68
ui dépend de quatre émirs de droit divin pour son
pétrole
et doit voter en conséquence à l’ONU ? D’un autre qui se rationne pou
69
Bruxelles il y a quelques mois, avant la crise du
pétrole
, sur cette assertion que j’entendais répéter partout : « il nous faut
70
ceptons. Je suis très optimiste après la crise du
pétrole
, parce que je vois des gens conscients de la nécessité d’exploiter to
71
parlent tous les mass médias, depuis la crise du
pétrole
— résulte d’une mauvaise gestion de la planète : famine et pollution,
72
tion maximale des ressources naturelles (comme le
pétrole
), donc à la pollution ; et finalement le seul facteur qu’elle fasse d
73
semble européen moins d’habitants et une crise de
pétrole
, donc un moindre besoin d’autoroutes, on me dit alors : — « Si vous s
74
nses réserves de minerais, d’or, d’aliments et de
pétrole
. C’est l’information scientifique, venue de l’Europe et d’elle seule,
75
ys où cette information produira de l’énergie. Le
pétrole
est « arabe », dit-on, mais sans l’Europe il n’existerait pas. Et dan
76
u Kippour fournissait un prétexte à la « crise du
pétrole
», m’obligeant à jeter au panier, pour cause de confirmation prématur
77
face aujourd’hui aux problèmes d’un monde dont le
pétrole
va s’épuiser… Comment remplacer le pétrole ? Pour l’avenir prochain,
78
ont le pétrole va s’épuiser… Comment remplacer le
pétrole
? Pour l’avenir prochain, deux solutions semblent passer toutes les a
79
forcenée des réserves naturelles de mercure et de
pétrole
, par exemple, se traduit par une pollution correspondante des lacs et
80
ns, et de l’aluminium pour 31 ou 160 ans ; que le
pétrole
existant et à trouver sous les mers soit épuisé dans vingt ans ou dan
81
blier son dossier) que les réserves existantes de
pétrole
et de charbon permettraient de satisfaire pendant quarante ans les be
82
diverses je lis, d’une part, que les réserves de
pétrole
seront épuisées dans vingt ans et, d’autre part, « qu’elles sont prat
83
ace à une diminution de la production mondiale du
pétrole
. Tel est l’avertissement lancé hier par M. H. R. Warman, directeur de
84
de l’oxygène qui rend l’atmosphère respirable. Le
pétrole
tue ces algues et nous asphyxiera, si cela dure. De plus, la très min
85
e produits naturels hautement organisés (comme le
pétrole
) en déchets grossiers et nocifs comme le SO2, mais surtout le CO2 et
86
tre développement, parce qu’il n’y a pas assez de
pétrole
sur la terre, sous la terre, et sous les océans, pour faire marcher c
87
ur tel produit intéressant la Défense nationale —
pétrole
arabe pour les Américains, bauxite australienne pour les Français —
88
e les écoute pas. » Péripétie, ou la crise du
pétrole
Là-dessus, la décision des émirats de quadrupler le prix du pétrol
89
la décision des émirats de quadrupler le prix du
pétrole
brut déclenche au cours de l’automne 1973 la « crise du pétrole ». Le
90
éclenche au cours de l’automne 1973 la « crise du
pétrole
». Le terme est ambigu, car en fait, il n’y a pas moins de pétrole qu
91
me est ambigu, car en fait, il n’y a pas moins de
pétrole
qu’avant ; mais ce malentendu provoque une prise de conscience subite
92
e. Nous ne pouvons plus dépendre des émirs, et le
pétrole
va s’épuiser ! Nous n’avons plus le choix ! (On ne l’avait déjà plus.
93
(On ne l’avait déjà plus.) Depuis que le prix du
pétrole
brut a quadruplé, l’énergie nucléaire devient compétitive. (Elle l’ét
94
rer la substitution de l’électricité nucléaire au
pétrole
… (Le Monde, 24 janvier 1975.) On ne « répond » donc pas aux besoins,
95
8. « Les réacteurs permettront de brûler moins de
pétrole
. » (Bilan énergétique.) — Construire un réacteur coûte beaucoup d’éne
96
ies d’énergie : au cours de l’année de « crise du
pétrole
» (automne 1973 à automne 1974), la Suisse a réussi, selon le conseil
97
mier du terme79. Prenons l’exemple de la crise du
pétrole
à l’automne 1973. Tous nos gouvernements occidentaux savaient que l’é
98
ement avant trente ans des principales sources de
pétrole
, soulignant, d’autre part, le danger d’une dépendance trop exclusive
99
rer sournoisement que les émirs, en le privant de
pétrole
sans plus attendre la pénurie finale, le rendent inoffensif dans les
100
nt inoffensif dans les années qui viennent ? Sans
pétrole
, que pourrait-il faire ? Du plutonium hélas, nous le voyons déjà. Il
101
fer, des chemins de fer et des canons, à celle du
pétrole
, des centrales nucléaires et des fusées, le moteur de la croissance n
102
tion maximale des ressources naturelles (comme le
pétrole
), donc à la pollution ; et finalement le seul facteur qu’elle fasse d
103
’où la guerre aussitôt suivie d’un embargo sur le
pétrole
. Derrière la guerre il y a la création de l’État d’Israël aux dépens
104
ment nationaliste. Mais derrière l’embargo sur le
pétrole
, il y a toute l’histoire de l’auto, qui suspend l’industrie européenn
105
amais perdu. L’auto, qui a provoqué la demande de
pétrole
, lequel arrive par mer en Occident, est responsable de la pollution d
106
mble de ses industries à celle de l’auto, donc au
pétrole
, l’Occident s’est rendu dépendant de quelques petits émirats, du roya
107
rds de dollars, car c’est en cette monnaie que le
pétrole
est payé. Vers 1980, si tout va dans le même sens, ce seront au moins
108
ant tout. L’épuisement des ressources connues de
pétrole
, exploitées aux prix d’aujourd’hui, est prévu pour l’année 2000, au r
109
possible du jeu de l’offre auto et de la demande
pétrole
; mais, en même temps, de se préparer à la relève qu’on sait inévitab
110
to, qui est elle-même suspendue aux ressources de
pétrole
, qui dépendent de la politique des Arabes, laquelle est déterminée pa
111
rédéterminés (comme la nature du combustible : le
pétrole
n’est pas seul possible, ou le réseau des autoroutes) et dont certain
112
par cent, mille et cent-mille les « besoins » en
pétrole
pour les voitures militaires, les chars, les avions et les bateaux de
113
tler, dans le monde arabe, premier fournisseur de
pétrole
, alors que Hitler lui-même n’était pas prévisible par la prospective
114
de prétexte. Les vrais motifs de l’embargo sur le
pétrole
ne sont pas là. Si l’on en croit le plénipotentiaire d’un émirat s’ad
115
es, puisqu’il s’agit maintenant de faire durer le
pétrole
, dût-on investir à cette fin dans les centrales nucléaires de l’Occid
116
s de l’Occident, ce que font aussi les magnats du
pétrole
et les grands producteurs d’énergie électrique. Et voilà la raison ma
117
’incapacité où nous étions de prévoir la crise du
pétrole
: nul ne peut prévoir aujourd’hui quelles prévisions seront faites de
118
ertissaient en août 1973 du danger d’une crise du
pétrole
dans le Proche-Orient, Nixon répondait : « Le pétrole ne peut pas êtr
119
ole dans le Proche-Orient, Nixon répondait : « Le
pétrole
ne peut pas être une arme pour les Arabes, il ne vaut rien s’il ne tr
120
nt calculable des ressources matérielles comme le
pétrole
, le cuivre et l’eau potable ; la destruction de centaines d’espèces a
121
égions La petite panique créée par la crise du
pétrole
en 1973-1974 a beaucoup appris aux Européens. Et notamment ceci : que
122
nc le grand bénéficiaire de la montée des prix du
pétrole
brut, s’il n’y avait ses achats directs pour les armées, aviation, ma
123
ni le déversement du mercure dans nos lacs et du
pétrole
dans nos eaux territoriales, ni les ondes des Radios et TV, ni les in
124
u Kippour fournissait un prétexte à la « crise du
pétrole
», m’obligeant à jeter au panier, pour cause de confirmation prématur
125
lles sont menacées d’épuisement. Il nous reste du
pétrole
pour trente ans. Que fera-t-on dans trente ans des autos et des autor
126
chir et à changer de cap, du genre de la crise du
pétrole
de 1973. Changer de cap, c’est littéralement se convertir, faire sa r
127
ène les États à accorder une énorme importance au
pétrole
, donc aux pays qui en produisent. Parallèlement, Hitler, en organisan
128
ts incessants avec les pays arabes producteurs de
pétrole
. D’où la crise de 1973, qui aboutit à la hausse des prix que l’on sai
129
e. Or tout le monde sait aujourd’hui qu’il y a du
pétrole
pour trente ans environ. Autour de l’an 2000, il n’y en aura presque
130
de aujourd’hui, la recherche sur un véhicule sans
pétrole
est dans les limbes. Et les constructeurs d’automobiles, soutenus par
131
toutes les voitures parce qu’il n’y aura plus de
pétrole
pour les faire rouler. Donc, je ne prédis pas une catastrophe des aut
132
nu à manquer et imaginez le même incident avec le
pétrole
! Puis-je vous citer la fin de votre phrase de tout à l’heure sur les
133
seront assez mineures au début, comme la crise du
pétrole
en 1973, qui est le type de ce que j’appelle une catastrophe enseigna
134
pies se sont réalisées pour plaire à l’auto et au
pétrole
. Mais ce pétrole indispensable se trouvait enfoui principalement dans
135
isées pour plaire à l’auto et au pétrole. Mais ce
pétrole
indispensable se trouvait enfoui principalement dans le sous-sol des
136
toire, se trouvait entouré de pays producteurs de
pétrole
. La guerre du Kippour, en 1973, est l’endroit où Ford et Hitler se re
137
tester. On sait aujourd’hui que les ressources en
pétrole
seront épuisées d’ici à vingt ou trente ans ; on en trouvera bien sûr
138
l’économie de l’Europe, suspendue tout entière au
pétrole
, s’est rendue absurdement vulnérable aux caprices de quelques émirs.
139
gie à bon marché, et la pénurie dans vingt ans du
pétrole
, puis de l’uranium censé le remplacer. Même en portant de 4 % à 25 %
140
il faut, prévoir pour la fin du siècle, faute de
pétrole
, un manque de 50 % sur la quantité énergie qu’on nous annonce « néces
141
bouleversements. C’est en raison de l’auto que le
pétrole
est devenu le produit dont toute l’économie occidentale dépend aujour
142
me que vous évoquiez tout à l’heure ? La crise du
pétrole
nous a réveillés. Soudain nous avons senti le vent du boulet ! Ce que
143
, suspendue à une seule ressource énergétique, le
pétrole
. Hélas, ce ne sera pas suffisant ! Il faudra encore beaucoup d’autres
144
à force d’inconscience. Tout le monde sait que le
pétrole
va s’épuiser. D’ici l’an 2000 toutes les sources de pétrole faciles à
145
s’épuiser. D’ici l’an 2000 toutes les sources de
pétrole
faciles à exploiter seront taries. Ce qui signifie qu’il n’y a de pét
146
ter seront taries. Ce qui signifie qu’il n’y a de
pétrole
à un prix abordable que pour dix ou vingt ans ! Qu’après, il sera dev
147
nt et tout de suite afin que nous économisions du
pétrole
pour deux siècles ! » Bien sûr, mais il y a de si grands intérêts fin
148
ophe ! Imaginez dans dix ou vingt ans… Le prix du
pétrole
ayant décuplé ou vingtuplé, il n’y aura plus que des gens très riches
149
r nous tirer d’affaire lorsqu’il n’y aura plus de
pétrole
, on sous-entend : il n’y a que le nucléaire qui peut nous permettre d
150
i à la fin du siècle. Or nous dépendons à 80 % du
pétrole
. Restera donc un déficit de 50 %. Autrement dit ce sera la crise tota
151
la nécessité, pour aller vite, d’utiliser plus de
pétrole
et plus de centrales nucléaires qui nous tueront tous. Il faut sortir
152
illimitées, comme s’il y avait de l’aluminium, du
pétrole
, de l’uranium pour mille ans ! Au fond, qu’est-ce que le progrès ? C’
153
ngers qui nous menacent : la terre est pillée, le
pétrole
, les minerais, l’eau s’épuisent, le nucléaire menace et avec lui le t
154
industrie mondiale. Avec elle s’est développé le
pétrole
, dont l’importance unique nous fait dépendre des pays producteurs du
155
Kippour est pour ainsi dire née du croisement du
pétrole
arabe et de l’État d’Israël. Personne n’aurait pu le prévoir, les fut
156
lub de Rome annonçant une pénurie des réserves de
pétrole
d’ici à trente ans et qu’ils ont agi en conséquence, alors que les go
157
ent en jeu qui ne sont pas tous prédéterminés (le
pétrole
n’est pas l’unique combustible) et dont certains sont même purement f
158
ans, il ne sera plus guère possible d’acheter du
pétrole
. Parce qu’il coûtera trop cher. On aura également des problèmes avec
159
du siècle 20 à 30 % de nos besoins, alors que le
pétrole
couvre actuellement 80 %. Or, si on économise simplement de 20 à 50 %
160
un exemple typique : au lendemain de la crise du
pétrole
de 1973, le conseiller fédéral Brugger déclarait que le peuple suisse
161
Et comment ? Pour cela, la toute petite crise du
pétrole
de 1973 nous a appris beaucoup de choses. Cette crise n’a pas été gra
162
ssance est très vulnérable, puisqu’elle dépend du
pétrole
, et que celui-ci n’est pas, quoi qu’on en dise, inépuisable. Non, il
163
bstituts à la circulation routière, qui épuise le
pétrole
, et pollue l’atmosphère. On pourrait aborder ici le problème des tran
164
fatalité. On se chauffait à 23° avant la crise du
pétrole
, on se chauffe à 20° aujourd’hui. Qui s’en plaint ? Contrairement à c
165
ant tout semble continuer comme si nous avions du
pétrole
pour des siècles. C’est absurde. D’ici cinq ans, il est très possible
166
urde. D’ici cinq ans, il est très possible que le
pétrole
coûte trois à quatre fois plus cher qu’aujourd’hui — et comment voule
167
monde sera comparable au monopole arabe quant au
pétrole
. Il ne sera pas facile pour les USA et le Canada, de ne jamais abuser
168
rces extérieures d’approvisionnement. La crise du
pétrole
en 1973 a montré combien notre économie était devenue vulnérable à de
169
s nos embouteillages polluants et nos pénuries de
pétrole
qui exigent des centrales nucléaires, etc.) Il y a peu de chances que
170
re mondiale, la pollution des océans, la crise du
pétrole
, etc. Maintenant, en analysant ce qui se passe dans les pays développ
171
e étant seul capable actuellement de remplacer le
pétrole
qui va manquer vers l’an 2000 — et qu’enfin, la croissance de la cons
172
olidement étayée à la question du remplacement du
pétrole
par l’énergie nucléaire à peu près seule. Le seul espoir pour notr
173
ssie (remplaçant la dépendance des Arabes pour le
pétrole
), et les capitaux viennent de partout. Des Arabes, de nouveau ? De pa
174
occupe le troisième rang parmi les producteurs de
pétrole
. La politique du shah va consister à négocier des milliards de barils
175
avorable : l’Iran représente pour lui beaucoup de
pétrole
, mais surtout une digue (à surveiller sans relâche) contre l’expansio
176
lfe Persique, d’où provient la plus large part du
pétrole
mondial. Telles sont les données économiques, politiques et militaire
177
ion comparable à celle du monopole arabe quant au
pétrole
. Il ne sera pas facile pour les USA de ne jamais abuser de cet avanta
178
rces extérieures d’approvisionnement. La crise du
pétrole
en 1973 a montré combien notre économie était devenue vulnérable à de
179
mais nos embouteillages, et même nos pénuries de
pétrole
qui semblent exiger des centrales nucléaires, etc.) Il y a peu de cha
180
firait d’un embargo (par l’URSS peut-être) sur le
pétrole
des émirats du Golfe pour que tout s’arrête… f) De là chez les Europé
181
découlent. Avons-nous le droit de brûler tout le
pétrole
de la Terre, ne laissant à nos descendants que la gestion d’énormes d
182
onétaire et la spéculation, la montée des prix du
pétrole
5, les menaces de pénuries d’énergie et d’épuisement des ressources n
183
et dans la montée des régions. 5. Le prix du
pétrole
a quintuplé de 1972 à 1979. Cela peut gêner, déjà, les usagers de la
184
15 à 18 milliards de TEP9 * Tonnes équivalent
pétrole
. Pour l’Europe des Neuf, le bilan énergétique s’établit comme suit :
185
rès inégales. La Grande-Bretagne a du charbon, du
pétrole
, du gaz naturel et de l’énergie nucléaire ; l’Italie de l’hydroélectr
186
celui de la dépendance des pays de l’OPEP pour le
pétrole
, et/ou des USA, du Canada, de l’Afrique noire, plus tard de l’Afrique
187
ans — où la relative pénurie d’énergie primaire (
pétrole
, puis uranium) à l’échelle mondiale deviendrait pour les Européens un
188
s coûts supportables — se fera sentir : — pour le
pétrole
dès 1985 ou 1995, ou 2000 au plus tard (selon les scénarios élaborés
189
» les centrales nucléaires, « seuls substituts au
pétrole
étranger »12. Il y a enfin les mauvaises habitudes prises par les usa
190
n elle-même affirment que la seule alternative au
pétrole
déficient d’ici vingt ou trente ans sera l’énergie nucléaire. Là-dess
191
. Là-dessus trois remarques : a) Au moment où le
pétrole
manquera13, la pénurie d’uranium s’annoncera. L’alternative aux centr
192
thorium) épuisables dans les mêmes délais que le
pétrole
; — la dépendance de l’étranger (techniques, licences, approvisionnem
193
s autres possibilités de remédier à la pénurie du
pétrole
et de l’uranium, d’autres sources connues d’énergie : solaire avant t
194
le du continent 1. En cas de nouvelle crise du
pétrole
(guerre au Moyen-Orient), prévoir des mesures de solidarité européenn
195
ociété prévoir une fois que nous serons privés de
pétrole
? Comment préparer dès maintenant la transition à une telle société ?
196
esure de produire autant de millions de barils de
pétrole
que toutes les autres parties du monde réunies. Notons que ceux qui m
197
ies qui s’annoncent pour la fin de ce siècle : du
pétrole
, de l’uranium, de l’eau potable, et possiblement de l’oxygène si l’on
198
77, ONU. 21. Les combustibles fossiles (charbon,
pétrole
, gaz) représentent 90 % de l’énergie utilisée dans le monde entier, l
199
thodes scientifico-techniques grâce auxquelles le
pétrole
, par exemple, qui n’était rien sous le sol des déserts, est devenu la
200
La crise mondialisée À partir de la « crise du
pétrole
» suivant de peu la guerre du Kippour à l’automne 1973, certains des
201
ccidentaux : il n’y avait simplement pas assez de
pétrole
, d’acier, d’aluminium et de cuivre sur toute la Terre pour fabriquer
202
re, pas assez d’uranium… Et surtout, pas assez de
pétrole
. Donc, plus personne ne devrait oser promettre un développement indéf
203
nopole équivalent à celui des pays arabes pour le
pétrole
. Il sera tentant pour les Américains d’user de cet avantage à des fin
204
tous : d’ici 20, 30, 50 ans, il n’y aura plus de
pétrole
, plus d’uranium pour le remplacer, plus de cuivre pour les fils élect
205
utos qu’il en demande, et personne n’aura plus de
pétrole
nulle part d’ici dix ans. Essayez d’installer dans le tiers-monde des
206
e dans le tiers-monde, l’augmentation des prix du
pétrole
et l’épuisement de ce pétrole par nous d’abord. C’est notre modèle d’
207
ntation des prix du pétrole et l’épuisement de ce
pétrole
par nous d’abord. C’est notre modèle d’État-nation centralisé qui tri
208
lus en plus nettement politique après la crise du
pétrole
(1973) et la politique du « tout nucléaire » préconisée dès lors par
209
ergie (l’uranium sera épuisé en même temps que le
pétrole
), l’Europe est menacée de mort. Aucune loi économique ne nous empêche
210
lus en plus nettement politique après la crise du
pétrole
(1973) et la politique du « tout nucléaire » préconisée dès lors par
211
utos qu’il en demande, et personne n’aura plus de
pétrole
nulle part cinq ans plus tard. Essayez d’installer dans le tiers-mond
212
ressources naturelles non renouvelables comme le
pétrole
, l’uranium, le manganèse (sans lequel notre fer ne donnera pas d’acie
213
e dans le tiers-monde, l’augmentation des prix du
pétrole
et l’épuisement de ce pétrole par nous d’abord. C’est notre modèle d’
214
ntation des prix du pétrole et l’épuisement de ce
pétrole
par nous d’abord. C’est notre modèle d’État-nation centralisé qui tri
215
ononçait les phrases suivantes : Les réserves en
pétrole
… seront un jour épuisées. Les experts varient sur la date, non sur la
216
te, et de l’épuisement prévisible des réserves de
pétrole
, dont on commence à parler sérieusement. C’est alors qu’on nous offre
217
e étant seul capable actuellement de remplacer le
pétrole
qui va manquer vers l’an 2000 ou 2050 ; — et qu’enfin, la croissance
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de la triple jonction entre le renchérissement du
pétrole
, la chute du dollar et le conflit israélien et, à long terme, la disp
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déversement de centaines de millions de tonnes de
pétrole
dans le golfe du Mexique. Ils coulent toujours, mais ce n’est plus un
220
? de café ? de tabac ? de tomates ? de soja ? de
pétrole
? d’uranium ? Quand la maîtresse d’un roi lui adresse l’apostrophe fa
221
millions de blessés par an, et qui a valorisé le
pétrole
au point d’en faire le problème no 1 des années que nous vivons, est
222
ommation d’énergie électrique et au gaspillage du
pétrole
. Les Occidentaux sont intoxiqués par le gaspillage d’énergie, et le t
223
rer la substitution de l’électricité nucléaire au
pétrole
»59. Je réitère : ils voudraient nous faire prendre leurs désirs (de
224
ources naturelles, non renouvelables, qui sont le
pétrole
et l’uranium. Pour le pétrole, je me suis laissé dire par des membres
225
lables, qui sont le pétrole et l’uranium. Pour le
pétrole
, je me suis laissé dire par des membres de la Commission du droit de
226
uvernements, sont donc responsables) qu’il y a du
pétrole
offshore pour 500 ans, la question étant une question d’écologie, à s
227
s de 20 ans : qu’il n’y a plus que pour 20 ans de
pétrole
dans le monde et qu’il faut tout refaire d’après cette certitude-là,
228
ous vos rapports, il semble qu’il n’y ait plus de
pétrole
que pour vingt ans et c’est une crise très grave pour l’Europe. Mais
229
. Les vingt ans sont passés, et il y a encore du
pétrole
, on en a même découvert encore plus, au Mexique par exemple. Alors, j
230
où il y aurait des difficultés de se procurer du
pétrole
. Mais il ne faut pas qu’on nous dise que nous manquons d’électricité
231
ver 1973-1974, qui a suivi la soi-disant crise du
pétrole
— ce n’était qu’une menace de crise du pétrole — , le conseiller fédé
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du pétrole — ce n’était qu’une menace de crise du
pétrole
— , le conseiller fédéral Brugger a fait un discours à la radio, une
233
t jusqu’à l’an 2000, pour répondre au problème du
pétrole
et aussi du renchérissement des automobiles : la baisse commence déjà
234
ltés déjà signalées, telles que la raréfaction du
pétrole
, de l’uranium. Tant qu’on n’en vient pas carrément à de nouvelles for
235
iques et politiques. Qu’il s’agisse de l’auto, du
pétrole
ou de l’énergie, de la percée japonaise, de l’Iran, de l’Afghanistan
236
s naturelles épuisables que l’on ne contrôle pas (
pétrole
et uranium dès aujourd’hui, mais demain eaux, forêts, aliments). 7
237
itiques. Qu’il s’agisse de la crise de l’auto, du
pétrole
ou de l’énergie, de la percée japonaise, de l’Iran, de l’Afghanistan
238
s naturelles épuisables que l’on ne contrôle pas (
pétrole
et uranium dès aujourd’hui, mais demain eaux, forêts, aliments). 7
239
our un troupeau d’îles désertes… Avec beaucoup de
pétrole
dessous et quelques milliers de tonnes de crevettes autour ! L’exploi
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de tonnes de crevettes autour ! L’exploitation du
pétrole
serait fabuleusement chère… La vraie raison de cette guerre, c’est qu
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çaient d’un jour à l’autre, notamment la crise du
pétrole
. Pour faire sentir le danger que représentaient les 16 milliards de d
242
nonçait les phrases suivantes : « Les réserves en
pétrole
… seront un jour épuisées. Les experts varient sur la date, non sur la
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la Terre, sans retour ; et le très mince film de
pétrole
qui recouvre les océans, qui diminue leur évaporation et produit des
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e. En effet, les ressources naturelles — charbon,
pétrole
, métaux, bois, eau potable, etc. — ne sont pas du tout inépuisables c
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ont cru naïvement jusqu’à nous : le charbon et le
pétrole
s’épuisent d’une manière calculable. Selon certains experts, même si
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écouvre dans les déserts et les mers le double de
pétrole
qu’on exploite aujourd’hui, avec l’augmentation de la population et d
247
n de la population et de la consommation, tout le
pétrole
de la terre semble devoir être brûlé d’ici trente ans. On trouvera au