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dans les Bestiaires font pardonner bien d’autres
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de vrais délires taurologiques. Quand le lyrisme de Montherlant décol
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Espagne et du génie taurin. Ce qui perce à chaque
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, ce qui peu à peu obsède dans l’inflexion des phrases, ce qui s’élève
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clairs. Il déplia le journal et se mit à lire les
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d’annonces. On m’apporta une liqueur. Et quand j’eus fini de boire, m
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isit son journal. Il en parcourait rapidement les
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, la proie d’une agitation visible. Bientôt il m’offrit de jouer un mo
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entraîne le lecteur par ruse jusqu’à la dernière
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, et là déclare froidement ne pas exister. Non : il a remarqué que l’é