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nt de tout pouvoir, s’évanouissent et meurent aux
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des livres. L’action de l’homme devient aussi la vérité ; et la norme
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cessaire à toute œuvre constructive. Les quelques
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qui suivent n’ont d’autre but que d’en indiquer le principe de perman
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service de l’esprit, où il est question à chaque
page
de défendre la liberté. Dans l’état présent du langage, de la culture
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res formes. Les gros romans sociaux de huit-cents
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que nous assènent les Céline, Aragon ou Plisnier sont bien plus des p
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re de Journal d’un intellectuel en chômage , ces
pages
que je suis en train de rédiger à temps perdu. Il est assez sceptique
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peuples n’a fourni pour sa part qu’une dizaine de
pages
(sur 150) relatives surtout au développement d’une culture nationale-
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n’a rien à voir avec la critique littéraire. À la
page
43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « … ils déménag
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re d’offrir à nos lecteurs la primeur de quelques
pages
de ce livre. Dans ces pages, l’auteur peint notamment le milieu où il
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a primeur de quelques pages de ce livre. Dans ces
pages
, l’auteur peint notamment le milieu où il s’est retiré, une petite îl
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tôt que « désarmé » comme il le dit aux premières
pages
) par les procédés de l’humaniste et du sceptique que se vantait d’êtr
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t perpétuelle question que nous posent toutes les
pages
de la Bible. Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que le
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it que 250 francs dans le coffre. v. « Nouvelles
pages
du Journal d’un intellectuel en chômage », Existences, n° 15, avril 1