1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
1 poète s’il ne s’efforçait de donner raison aux 75 pages où il voulut nous persuader que tout poème doit être une dictée non c
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
2 contraint de suivre jusqu’au bout un roman de 500 pages comme Rabevel. Car si la liquidation des questions traitées est rapid
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
3 essent trop complètement résolu dès les premières pages , mais qu’il faut louer Mme Rivier d’avoir posé courageusement. Dirai-
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
4 ivit naguère sur les Fontaines du désir certaines pages magnifiques et sobres, jetées de haut avec la nonchalance des vrais p
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
5 eries fatigantes et quelques sombres délires, des pages d’un lyrisme inouï. Que Louis Aragon ne se croie pas tenu de justifie
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
6 une certaine puissance de l’effet, aux dernières pages . Il règne dans la Maladère une étrange harmonie entre le climat des s
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
7 us de choses qu’il n’y paraît d’abord dans ces 50 pages . Beaucoup sont excellentes et leur facilité même est une réussite. Lé
8 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
8 sont jamais méchants, et seulement aux dernières pages du livre, un peu amers… On voudrait un livre de Cassou qui ne serait
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
9 ssante et parfois émouvante bizarrerie (Mort d’un Page ). Cependant je préfère ses proses : il y a ici plus qu’une manière et
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
10 gueur, de moelleux et de précision… À la dernière page , l’artiste fait une belle grimace : le lecteur ne l’imitera pas. be
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
11 mme il est, lui, de l’autre école, il referme ces pages et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’aise. Eh bien oui : je me