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poète s’il ne s’efforçait de donner raison aux 75
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où il voulut nous persuader que tout poème doit être une dictée non c
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contraint de suivre jusqu’au bout un roman de 500
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comme Rabevel. Car si la liquidation des questions traitées est rapid
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essent trop complètement résolu dès les premières
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, mais qu’il faut louer Mme Rivier d’avoir posé courageusement. Dirai-
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ivit naguère sur les Fontaines du désir certaines
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magnifiques et sobres, jetées de haut avec la nonchalance des vrais p
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eries fatigantes et quelques sombres délires, des
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d’un lyrisme inouï. Que Louis Aragon ne se croie pas tenu de justifie
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une certaine puissance de l’effet, aux dernières
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. Il règne dans la Maladère une étrange harmonie entre le climat des s
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us de choses qu’il n’y paraît d’abord dans ces 50
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. Beaucoup sont excellentes et leur facilité même est une réussite. Lé
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sont jamais méchants, et seulement aux dernières
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du livre, un peu amers… On voudrait un livre de Cassou qui ne serait
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ssante et parfois émouvante bizarrerie (Mort d’un
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). Cependant je préfère ses proses : il y a ici plus qu’une manière et
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gueur, de moelleux et de précision… À la dernière
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, l’artiste fait une belle grimace : le lecteur ne l’imitera pas. be
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mme il est, lui, de l’autre école, il referme ces
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et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’aise. Eh bien oui : je me