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ouant les Scythes et Tacite les Germains, par les
pages
célèbres de Montaigne et les « clameurs » de Bartholomé de las Casas
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et du marxisme avec l’esthétique. Cent-cinquante
pages
seulement, mais qui ne laissent pas le sens critique du lecteur s’end
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l’humanité. » Dans la préface qu’il a donnée aux
Pages
choisies de Comenius publiées par l’Unesco, Jean Piaget propose une v
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la Revue du Siècle, n° 2, mai 1933. Suivent douze
pages
où l’on cite les déclarations non moins antiparlementaires et antidém
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rer la photocopie de l’article. Il s’agit de deux
pages
de réponse à une enquête sur la jeunesse française et la guerre. Voic
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ma comparaison. Il les sépare par une douzaine de
pages
et cela change tout. Le premier terme devient une déclaration de guer
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dans sa réédition de 1972. Qu’on se reporte à la
page
indiquée 140. Je viens de parler longuement de la « mesure soviétique
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t l’impression d’une recherche poussée très loin…
Page
35, Lévy citant de nouveau Penser avec les mains (p. 127), m’attribu
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“révolutions avortées”58) ». Reportons-nous aux
pages
citées dans mon livre. Quelques remarques de forme tout d’abord : — d
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n auteur de langue française n’a publié autant de
pages
sur et contre Hitler. Vraiment, Lévy choisit mal ses nazis. C’est qu’
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’il vient pourtant de dénoncer dans les premières
pages
de son article. Il a choisi de n’accorder créance à B.-H. Lévy que su
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bien connu du domestique voleur, en Chine.) À la
page
32 de son livre, Lévy s’indigne de ce qu’Emmanuel Mounier lui-même,
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ler-Niemöller. Encore plus d’accord avec vos deux
pages
de la dernière NRF 66 C’est beaucoup plus « Collège de sociologie »
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eau de décembre 1936, et sous le même titre, les
pages
de mon Journal d’Allemagne, datées d’avril 1936, reprises dans Journ
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66. Il s’agit d’un « Air du mois » intitulé « Une
page
d’histoire » (en réalité d’une page d’histoire-fiction tirée d’un man
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ntitulé « Une page d’histoire » (en réalité d’une
page
d’histoire-fiction tirée d’un manuel de l’an 2000) paru dans la NRF
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s, et selon quelles définitions ? J’ai lu les 708
pages
de ce livre, admirablement illustré, et n’y ai trouvé qu’une seule dé
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’État, n’ait fait l’objet d’aucune définition aux
pages
précédentes de l’ouvrage. En réalité, l’étude de Jean Bodin est bel e
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s. 74. L’essentiel de ce chapitre est repris des
pages
101 à 110 de mon livre L’Avenir est notre affaire , paru en 1977. 7
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èrement, bien que j’aie déjà cent, cent-cinquante
pages
de chacun, écrites depuis quinze ou vingt ans. Cela va boucler un peu
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hoc. Je me suis mis à écrire à toute vitesse deux
pages
que j’ai envoyées à la Gazette de Lausanne . Le lendemain, dimanche
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s plus penser à mon article. Il était en première
page
, et le titre en était : « À cette heure où Paris exsangue voile sa fa
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crit ce livre en trois mois, un gros livre de 380
pages
. Vraiment dans un état de transe, car cela supposait une quantité de
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e idée dans mon dernier livre, à l’avant-dernière
page
je crois, en une seule phrase : il y a deux grandes finalités qui se