1 donner une apparence d’utilité publique. À chaque page de ses livres, on pourrait relever les sophismes plus ou moins consci

2 n mettait notre volonté aimante, entre toutes les pages , sur toutes les choses. Nous écrivions aux auteurs, nous recevions de

3 phné, beaucoup plus long, — il compte plus de 600 pages dans l’édition française — d’un rythme plus inégal aussi, il ne lui e

4 rendre la réalité. Et c’est au cours des quarante pages qu’il consacre à la « conversion » au catholicisme de la princesse Bl

5 it se ralentit, au contraire, fâcheusement en ces pages — et qui s’explique si l’on a lu la phrase par quoi se termine un pré

6 eu est le plus absent. Car nous y sommes à chaque page incités à juger, induits en tentation, induits en discussion. Je sais

7 e rompent les discussions, et qu’en tant d’autres pages de cette belle œuvre, d’une simple indication tranquille et profonde

8 ns qu’un pasteur ne parlerait pas autrement. 20. Pages 495-499. g. « Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche de Ma

9 éterminations. ⁂ Ce qui frappe, dès les premières pages , c’est l’extrême minutie du récit. Les auteurs qui écrivent leurs mém

10 décida à faire profession de disciple du Christ. Page étrange, en vérité, et dont l’accent presque nietzschéen choquera peu

11 révélés et leur souffrance s’est écrite dans les pages innombrables de notre littérature. L’ouverture s’est faite, mais non

12 ne suite d’études parues pour la plupart dans les pages de l’Action française, mais qui, marquons-le tout de suite, ne compor

13 aut vivement louer l’auteur de conserver à chaque page le souci des références à l’actuel. La description qu’il fait de l’ho

14 gens, qui ne possédaient rien, qui ont écrit les pages héroïques de l’histoire, et non les gens âgés qui possédaient tout. C

15 e cet ensemble, que de lire avec eux les quelques pages de la première partie intitulées Religion et christianisme. Je ne pui

16 souvent les atteintes. Dans ce même livre, quatre pages plus bas, j’en trouve un autre exemple : Nietzsche croit découvrir qu

17 ôt que « désarmé », comme il le dit aux premières pages ) par les procédés de l’humaniste et du sceptique que se vantait d’êtr

18 t perpétuelle question que nous posent toutes les pages de la Bible. Ils renvoient tous à une réalité dont ils ne sont que le

19 articulations. Que l’on excuse le schématisme des pages qui suivent : c’est celui d’un plan de travail, d’un sommaire. Certa

20 s sociales et politiques proposées au long de ces pages , et qui vont des petites communautés à la fédération du continent, pr

21 cause de confirmation prématurée, une centaine de pages destinées à ce livre, et dont le ton prophétique eût paru plutôt ridi

22 77, p. 145-155. Une note précise : « Ces quelques pages forment la conclusion du livre à paraître chez Stock sous le titre L